mar.

09

nov.

2021

Céline Mauboussin : de la conversation à la transformation

Forte d’une expérience de 20 ans dans l’accompagnement des enfants, des parents, des professionnels de la petite enfance et du secteur sanitaire et social, complétée de formations à différentes approches thérapeutiques, Céline Mauboussin ouvre un cabinet de thérapie narrative à Grandris. Une technique très novatrice, en France. Rencontre.

 

D’abord développé en Australie, dans les années 80, par deux psychothérapeutes familiaux, l’accompagnement narratif est encore peu connu en France. Comment peut-on décrire cette approche ?

 

Imaginez une maison dans laquelle vous vous enfermez, la plupart du temps dans une seule et même pièce, avec un accès limité aux autres pièces. Dans la vie, nous pouvons reproduire cette attitude à notre insu : lorsque nos problèmes prennent tant de place qu’ils nous isolent et nous empêchent d’accéder à nos ressources. Si, par exemple, vous vous dites « je suis nul, j’ai toujours été nul… », votre cerveau va systématiquement aller chercher les faits qui confirment ce point de vue. Cette histoire de « je suis nul » va alors gouverner votre vie et même devenir votre identité. Or, chacun porte en lui plusieurs histoires. Par le moyen de questions spécifiques, l'accompagnement narratif consiste à aller chercher d’autres histoires plus porteuses ; des moments d’exception susceptibles de contrebalancer l’histoire du problème et de permettre à la personne de redevenir auteur de sa vie en retrouvant sa capacité à faire des choix.

 

Comment y parvient-elle ?

 

La personne va tisser d’autres histoires d’elle-même et visiter les autres pièces de sa maison intérieure, riches d’expériences et de talents. Retrouver ses pépites cachées, son propre savoir, l’aide à se transformer, à recouvrer sa confiance et son énergie afin de se construire une vie plus en accord avec ses envies, ses rêves, ses valeurs …

 

 

"Aller chercher d’autres histoires plus porteuses ;

des moments d’exception susceptibles de contrebalancer l’histoire du problème"

 

 

Qu’est-ce qui vous a séduit dans cette technique ?

 

Elle est particulièrement respectueuse de la personne et nous invite à avoir un regard positif sur tout être humain. Elle part du principe que ce dernier est expert de sa vie et pourra diminuer l’influence du problème s’il se reconnecte à ce qui a du sens dans sa vie. Notre rôle est de l’écouter doublement : écouter les difficultés qu’il expose mais écouter également les autres facettes – positives – de son discours. Plutôt que de chercher les manques et les vides, nous allons chercher les pleins, les ressources et les talents cachés. Nous lui offrons une autre paire de lunettes pour regarder sa vie. J’aime beaucoup cette approche à la fois humaniste, profondément généreuse, libre et pointue qui rend hommage à ce qu’il y a de plus précieux chez les personnes.

 

Comment se déroulent les séances ?

 

L’accompagnement est individuel. La séance dure environ une heure et demi, entre une demi-heure à une heure pour les enfants et les adolescents. Une seule séance peut suffire, plusieurs sont parfois nécessaires, mais nous nous inscrivons dans la lignée des thérapies brèves. C’est la personne qui décide de ce dont elle a besoin. Le point de départ peut être un problème précis, une envie de changer de vie professionnelle sans arriver à sauter le pas, par exemple, ou un sentiment diffus de mal-être. On peut débuter les séances lorsque l’enfant est à l’aise avec le langage. Je propose aussi un accompagnement parental. Là je ne suis plus tout à fait dans la même posture. Je peux utiliser l’approche narrative, mais je la complète par des outils concrets pour soutenir les parents dans leur rôle éducatif.

 

Nadia Gorbatko.

 

En pratique

 

Sur rendez-vous

06 03 83 35 10

Adresse

1 rue du Commerce, Grandris

Prix

60 euros pour les adultes, 45 pour les enfants et les adolescents.

Web

celinemauboussin.com

 


Vingt ans au service du mieux-être

 

Educatrice spécialisée de formation, Céline Mauboussin a travaillé une quinzaine d’années au sein d'institutions sociales et médico-sociales, avant de devenir responsable de crèche, puis consultante en parentalité, animatrice d’ateliers destinés aux parents comme aux professionnels, formatrice, conférencière, superviseur (analyse de la pratique) dans diverses institutions : multi-accueil petite enfance, foyers d’adultes handicapés mentaux, association d’aides à domiciles… Co-auteure d’outils spécialisés dans le domaine de la parentalité (livrets, supports pédagogiques…), elle s’est formée à la communication bienveillante ainsi qu’à plusieurs thérapies, comme l’approche systémique brève centrée sur les solutions et les compétences, la sophrologie et l’approche narrative.

 

mer.

25

nov.

2020

Journée contre les violences faites aux femmes

Aujourd'hui, c'est la Journée internationale contre les violences faites aux femmes. Savez-vous qu'une association existe en Haute Vallée d'Azergues pour aider les femmes concernées ? Elle s'appelle Solidarité Femmes Beaujolais.

Voici l'adresse de leur page FB : https://www.facebook.com/Solidarite.Femmes.Beaujolais/

jeu.

19

nov.

2020

Covid : une campagne de test avant Noël

Aider les familles à se réunir en prenant le moins de risques possibles : c'est l'objectif d'une campagne de tests qui devrait être organisée avant les fêtes de Noël, à l'intention de l’ensemble des habitants d’Auvergne-Rhône-Alpes. Ce dépistage massif devrait mobiliser quelque 10 000 personnes sur 1 000 lieux différents.

En complément, des cars itinérants devraient permettre de couvrir les zones plus rurales. Médecins libéraux, infirmiers, pharmaciens, réseaux de la Protection civile et de la Croix-Rouge seront mobilisés. En lien avec les départements, la campagne devrait aussi s’appuyer sur les sapeurs-pompiers.


En savoir plus : ici.

jeu.

19

nov.

2020

L'envie de ruralité est une tendance forte

Le désir de ruralité n'est pas une mode, selon Cécile Gallien, vice-présidente de l'Association des maires de France (AMF) et maire de Vorey (Haute-Loire).

 

 

 

 

 

 

"Depuis des années déjà, des communes rurales voient leur population augmenter. 80% sont dans cette situation, c’est un renversement de situation. L’exode rural est terminé. Une enquête de septembre 2019 fait apparaître que 45% des Français préféreraient vivre à la campagne dans l’idéal. Avec la crise du Covid et le premier confinement, la campagne est apparue comme une valeur refuge, de nombreux urbains sont venus s'y réfugier, certains y sont restés.
La politique c’est prévoir. C’est l’objectif de l’Agenda rural. Il faut que l’État accompagne cette envie de ruralité. Car ce n’est pas une mode, c’est une tendance forte."

>  Cécile Gallien participait au deuxième comité interministériel aux ruralités du 14 novembre en tant que membre de la mission Agenda rural.
> Lire l'article sur Localtis


lun.

03

août

2020

le boom de la téléconsultation

Portée par la pandémie, la téléconsultation va-t-elle devenir la solution pour lutter contre les déserts médicaux ?

 

La Cnam publie les chiffres de la "croissance spectaculaire" des téléconsultations : 5,5 millions de consultations et jusqu'à 27% des consultations réalisées au mois d'avril. La crise sanitaire a démythifié la téléconsultation, qui devrait continuer de progresser.

 

L'étude montre aussi une évolution dans le profil des téléconsultants. Et à Lamure ?

 

> Lire l'article

mer.

13

mai

2020

Pour les enfants : un petit journal sympa

 

 

 

A découvrir - Habitante du Bois d'Oingt et maman, Christelle Gobet a créé "Le journal des petites curiosités" durant le confinement.

Un média gratuit, vraiment très sympa, destiné aux enfants. "Afin de les aider à s'occuper, à vivre cette épreuve de façon positive, à développer leur potentiel humain, scolaire et créatif", dit-elle.
Aujourd'hui, trois numéros ont déjà été publiés.

 

Ils sont à télécharger ici
Des infos sur Facebook


mer.

29

avril

2020

Téléconsutation : un nouveau médecin

 

 

 

Le cabinet de téléconsultation de Lamure-sur-Azergues change de médecin. C'est le Docteur Autard qui sera désormais aux manettes.
Pour rappel : les rendez-vous se déroulent le mardi de 14h à 16h.

Tél. : 04 69 96 76 96

mer.

22

avril

2020

Déjà la sécheresse ?

 

 

Dans le Rhône, la Préfecture vient déjà de placer les nappes d'eaux souterraines en "alerte sécheresse" et les eaux superficielles en "vigilance". 


C'est officiel : depuis le 20 avril dernier, le Rhône est déjà placé en situation d’alerte sécheresse pour ses nappes souterraines. A ce jour, sont concernées les nappes pliocène (profondes) du Val de Saône, ainsi que les nappes des couloirs d’Heyrieux et de Meyzieu dans l’Est lyonnais. Les cours d'eau de l’ensemble du département du Rhône et de la Métropole de Lyon sont quant à eux déclarés "en situation de vigilance sécheresse".

Des mesures de restriction d’usage de l’eau s’imposent donc sur les territoires de l’Est lyonnais et dans une partie du Val-de-Saône : pour les usages professionnels -25%) comme pour les usages domestiques et d’agrément. Dans le département du Rhône et dans la Métropole de Lyon , les usagers sont invités à privilégier "une utilisation économe de l’eau".

Si la situation actuelle ne s’améliore pas au cours des prochaines semaines, de nouvelles mesures de restriction pourraient être prises.

Photo : Brodie Vissers, Burst

sam.

18

avril

2020

Y’a-til un docteur dans la vallée ?

 Quand le désert médical avance, que faut-il mettre en place ? Quelles initiatives sont à la portée des élus ? Cette question, que je me posais au début de l'année, est à l’origine de cette enquête, réalisée en février dernier pour l’hebdomadaire Le Pays et repoussée en raison de la pandémie de covid 19. Mais cette crise sanitaire met aussi en lumière l’importance crucial du sujet. C’est pourquoi je la publie dans Le Petit Grandris illustré aujourd’hui.

A Grandris, une situation qui ne laisse personne indifférent...


Les habitants de la Haute Vallée d’Azergues devront-ils se passer de médecin à partir de 2021 ? C’est l’un des scénarios possibles – mais pas obligatoires –, après la cessation d’activité du Dr Walzer, à Grandris, en 2018, l’annonce du départ en retraite du Dr Dermer de Poule-les Echarmeaux, d’ici un an, et celles du possible départ tout court des Dr Armanet, toujours à Poule, et Felicioli à Lamure-sur-Azergues, à cette même échéance. Il y a peu, les huit villages de l’ancienne communauté de communes comptaient cinq praticiens pour quelque 6000 patients. Elle n’en conserverait plus qu’un, le Dr Fognini, de Chambost-Allières.

La place centrale du généraliste
« Même si certains de ses patients sont partis à Amplepuis, le retrait du Dr Walzer a mis à mal le fragile équilibre qui existait jusqu’alors, en ajoutant une grosse charge de travail supplémentaire aux quatre médecins restants, dont trois se partagent par ailleurs les week-ends de garde avec deux internes », explique Philippe Bonnet, ancien maire de Chambost-Allières, toujours aux commandes aujourd’hui, faute de pouvoir installer le nouveau conseil municipal en période de confinement. Une pénurie prévisible de médecins d’autant plus préoccupante qu’elle risque de faire boule de neige sur l’ensemble du secteur. Selon l’avis du corps médical local – pharmaciens, infirmières, kinésithérapeute, ostéopathe et autre orthophoniste – le généraliste, en tant que prescripteur, occupe une place centrale au sein de la chaîne médicale. « Plus de prescripteur plus de chaîne médicale... », traduit Philippe Bonnet.

 

« Plus de prescripteur

plus de chaîne médicale... »


Mais pas de médecin salarié
Alertés par les médecins, aux limites du burn out pour certains, les élus tentent, depuis, de se mobiliser dans les limites restreintes de leur compétence en la matière. Avec des hauts, des bas et quelques désaccords... Défendue par quelques-uns, la piste de l’embauche d’un ou plusieurs médecins salariés, comme à Amplepuis, a été rapidement rejetée par une majorité d’entre eux. Beaucoup trop cher, ont-il estimé. « A raison d’une consultation à 25 euros, sur 35 heures, il faut tabler sur un salaire de 9 000 euros minimum, plus le secrétariat et le local. Sans les congés payés et les risques d’arrêt maladie », détaille Philippe Bonnet. Même si la consultation est remboursée par l’assurance maladie, un éventuel déficit devrait être pris en charge par la collectivité et au final par les habitants. « Vous imaginez un trou de 30 000 euros dans un budget de 300 000 ? », interroge Dominique Despras, maire de Claveisolles et conseiller régional, qui avoue par ailleurs ne pas se sentir assez expert dans ce domaine pour gérer une telle structure. L’élu se veut cependant pragmatique : « si les habitants le demandent et se déclarent prêts à renoncer pour cela à d’autres investissements, pourquoi pas... »

L’option libérale choisie
Concomitamment avec la création d’un cabinet de télémédecine à Lamure-sur-Azergues, inauguré en janvier dernier (encadré ci contre), après quelques péripéties dont une coupure de courant, les élus ont donc repris leur bâton de pèlerin, en 2019, pour trouver la perle rare en statut libéral. Une mission quasi impossible face à une absence totale de candidature…

« Non seulement le numerus clausus a considérablement réduit le nombre de généralistes disponibles, mais plus personne ne veut venir à la campagne et risquer de s’infliger des journées à rallonge. Les jeunes médecins veulent profiter aussi de leur vie de famille », explique Philippe Bonnet. A moins de faire jouer la synergie avec l’hôpital de Grandris...

 

« Le numerus clausus a considérablement

réduit le nombre

de généralistes disponibles. »


L’hôpital à la rescousse
Désireux d’embaucher un médecin, celui-ci n’a pas fait de difficulté à envisager d’en recruter plutôt deux, à mi-temps, afin de leur laisser la possibilité d’exercer un deuxième mi-temps en libéral ; proposant même dans la foulée, un local gratuit et du secrétariat. Un moyen pour l’établissement de limiter les déplacements aux urgences, aussi coûteux pour la collectivité que pénibles pour les patients. La COR, de son côté, acceptait la mise à disposition d’un autre cabinet à Lamure-sur-Azergues. Ne restait plus qu’à mettre la dernière touche à une petite soirée festive et estivale, à l’intention des internes de Villefranche et de Lyon, en présence des professionnels de santé, afin de valoriser les atouts et le potentiel du territoire.

Retour à la case départ
« Tout était prêt. C’est à ce moment précis qu’un changement est intervenu à la direction des hôpitaux Nord. La nouvelle directrice nous a alors demandé d’attendre un peu, le temps d'y voir plus clair », raconte Philippe Bonnet. Début 2020, juste avant la pandémie de covid19, la démarche reprenait enfin son cours, sur les mêmes bases et suscitant autant d’espoirs. « Nous leur proposons une patientèle déjà constituée, leur permettant de gagner correctement leur vie, ainsi que le secrétariat et le local. Ils peuvent vivre à Lyon où à Villefranche s’ils le souhaitent. A charge pour nous de réserver une chambre s’il faut rester une nuit sur place et de payer la garderie aux enfants si nécessaire », souligne Philippe Bonnet. « Sans compter que notre implantation est idéale, un véritable eldorado à proximité de Lyon comme de Villefranche », ajoute Dominique Despras. « Récemment, un syndicat de médecins me disait constater dans ses troupes une envie de retour au vert et de confort de vie. Mais bien sûr, il faut aussi trouver un emploi à proximité pour le conjoint. Cela peut compliquer les choses. »

 

« Notre implantation est idéale,

un véritable eldorado à proximité

de Lyon comme de Villefranche. »


Une brique de plus dans l’écosystème
Avec sa soixantaine de résidents et son encadrement de 120 salariés (90 équivalents temps plein), le projet de maison d’accueil spécialisée, prévu pour fin 2021 à Claveisolles, dans l’ancien couvent des sœurs du Prado, devrait aussi bouleverser la donne. En venant grossir les rangs de la patientèle locale, mais aussi en offrant aux professionnels de santé, la possibilité de booster leur réseaux et d’échanger avec des pairs : psychiatre, médecin somaticien, neuro-psychologue, ergothérapeute, kiné, infirmiers…  Avec un effet démultiplicateur sur le dynamisme local, espèrent les élus. « L’un des médecins peut avoir un conjoint généraliste », conjoncture Dominique Despras. « En tout cas les radars seront forcément tournés de notre côté. »

Des cartes à rebattre ?
Entre temps, les élections municipales et la crise sanitaire ont eu lieu. Les premières apportant leur lot de changements, le projet de salarier un médecin à Grandris, par exemple. La seconde remettant en perspective les carences de la prise en charge médicale sur le territoire. « Les cartes seront peut-être rebattues », espère Philippe Bonnet. « Nous sommes peut-être à la croisée des chemins », prédisait Dominique Despras en février dernier. Une vision prophétique ?

 

Nadia Gorbatko

A Lamure : une consultation presque classique

Infirmière libérale à Lamure-sur-Azergues, Sandrine Petit-Liadon
fait partie de l'équipe qui accueille les patients.

Un cabinet de téléconsultation s’est ouvert en janvier dernier à Lamure-sur-Azergues, afin de soulager les médecins locaux en activité. Visite.

Stéthoscope, pèse-bébé, table d’examen, tensiomètre, terminal dédié à la carte vitale… Dans cette salle de la maison médicale de Lamure-sur-Azergues inaugurée en janvier dernier, rien de diffère d’un cabinet de généraliste classique. A une exception près : le médecin se trouve à des centaines de kilomètres de là. Ce qui ne l’empêche pas de mener ses consultations de manière conventionnelle, grâce aux équipements connectés et, notamment, une mini-caméra pour explorer les cavités ou la surface de la peau, maniée par l’une des trois infirmières de l’équipe. Seul geste interdit : celui de la palpation.

Ce mardi, c’est Sandrine Petit-Liadon, infirmière libérale sur la commune, qui est inscrite au planning. Formée à la manipulation des instruments, bien rodée par sa demi-douzaine de consultations précédentes, elle accueille la patiente avec le sourire. « Nous connaissons une partie d'entre eux. Cela les rassure. Certains repartent enchantés, d’autres restent septiques. C’est quand même très nouveau », précise-t-elle.
Créé sous l’impulsion de Dominique Despras, alors Vice-président du Conseil Régional en charge de la santé, le cabinet est géré par la start up Healphi. Il a été subventionné à 80 % par la Région, sur un montant total de 24 000 euros. Moyennant un transfert de compétence ciblé sur cette action, la Communauté de communes (COR) a pris à sa charge les 20 % restant et proposé l’hébergement. Le surcoût lié à la présence d’une infirmière est assumé par la sécurité sociale.

Les rendez-vous se déroulent le mardi de 14h à 16h, pour le moment, et se prennent après accord avec son médecin traitant. A défaut de médecin traitant, le médecin en téléconsultation – c’est toujours le même – peut également accepter ce rôle. Objectif de la démarche : soulager les généralistes locaux. En effet 80 % des consultations correspondent à des pathologies bénignes ou à des renouvellements d’ordonnance. A ce jour, les rendez-vous sont encore peu nombreux, mais Sandrine Petit-Liadon reste confiante : « Via les médecins locaux notamment, le bouche-à-oreille va faire son office. »
Tél. : 04 69 96 76 96 Site internet : www.healphi.com

NG.

A Claveisolles, une maison d’accueil spécialisée

Photo : association Laroche.

A la fin de l’année prochaine, une soixantaine de personnes en situation de handicap psychique devrait profiter du charme de l’ancien couvent des sœurs Prado reconverti en maison d’accueil spécialisée. L’opération, menée en partenariat entre l’association Laroche et le centre hospitalier de Saint Cyr, contribuera à renforcer le potentiel économique de la vallée et… complexifiera peut-être sa recherche en cours de  médecins généraliste. A moins qu’elle n’amorce un mouvement inverse, grâce à l’attrait suscité par le pool de spécialistes présents sur le site.

NG


A Amplepuis, la maison médicale ne désemplit pas

Lors de son inauguration, en 2014, la maison médicale d’Amplepuis comptait trois médecins, tous salariés. ils sont neuf, aujourd’hui, à avoir fait ce choix de travailler en équipe, en milieu rural. Et les cabinets ne désemplissent pas. Pour un budget de 700 000 euros par an, pas toujours parfaitement à l’équilibre, la structure communale permet aux habitants d’Amplepuis, de Saint Just d’Avray, de Cublize et de Ronno, sans oublier les transfuges de la Vallée d’Azergues, de bénéficier de quelque 17 000 consultations par an.

NG

dim.

15

mars

2020

Elections : une femme à la tête du conseil municipal !

Le maire de Grandris sera une mairesse. Ce dimanche 15 mars 2020, la liste de Pascale Jomard a remporté le scrutin.

Il y avait beaucoup de monde, ce soir, devant la mairie de Grandris, pour suivre – à distance des virus – le dépouillement des bulletins. Gagnante de cette élection, la liste de Pascale Jomard remporte douze sièges contre trois pour la liste sortante de Lionel Guisard. Sur un total de 796 inscrits, 448 Grandrisiens se sont exprimés. Au total, 13 bulletins ont été comptés nuls, 167 sont allés à la liste de Lionel Guisard et 268 à celle de Pascale Jomard.

« On a beaucoup travaillé. On a une équipe en pleine forme, prête à affronter même ce que l’on n’attendait pas. On se serre les coudes et on va faire notre possible », a déclaré cette dernière. Premières mesures envisagées par la nouvelle équipe ? « Gérer le coronavirus, ensuite mettre en place des groupes de travail et travailler pour le médecin, pour notre cantine, pour l’animation de Grandris, tous nos grands sujets… Pour que Grandris vive un peu plus », détaille Pascale Jomard.

N.G.

LES CHIFFRES

 

Participation : 56,28%

Liste Guisard : 38%

Liste Jomard : 62%

 


jeu.

27

févr.

2020

Lionel Guisard, tête de liste de Bien vivre à Grandris : « Nous sommes au travail, nous sommes motivés »

 

 

En attendant la réunion publique

organisée par la liste Bien vivre à Grandris,

à l’Odyssée, le 6 mars prochain,

Lionel Guisard, candidat à la mairie,

a répondu à quelques questions

sur son équipe et leurs projets.

 


Quel bilan faites-vous de la mandature qui s'achève ?

Nous avons concrétisé toutes nos propositions de 2014, mis en place le portage des repas et la signalétique, rénové la rue Centrale et les abords de l’hôpital. Mais nous avons aussi saisi d’autres opportunités, comme l’achat du bâtiment du Grandrisien, pour 113 000€, sa remise en état pour 32 250€ et la création d’une terrasse. L’achat de la maison Bimler a permis d’aérer le centre-bourg et de faire des places de parking. Dernièrement, le boulodrome ayant été cédé à la mairie pour 1€ symbolique., nous avons donc pu procéder à son réaménagement et à son branchement au réseau de chauffage granulés bois de la salle de l’Etoile. Financièrement, le bilan est correct : nous avons dégagé 92 000 d’excédents de fonctionnement, en moyenne, sur cinq ans, notamment grâce aux économies d’énergie : sur l’éclairage la nuit, à l’école, via le chauffage granulés bois...

 

Quelle résentation feriez-vous de votre nouvelle liste ?

Elle comprend six sortants, neuf arrivants, de tous les âges et de tous les horizons professionnels, ce qui permet d’allier expérience et idées nouvelles. Elle s’est mise au travail pour proposer un projet qui sera distribué aux habitants d’ici la fin de la semaine. Nous sommes motivés.

 

Quel type de gouvernance envisagez-vous ?

Nous conserverons la gouvernance actuelle, avec un maire et quatre adjoints et adjointes en charge des quatre grandes commissions : finances, urbanisme, vie de la commune-bien vivre ensemble et communication-relation avec les partenaires. Tous les conseillers seront représentés, selon leurs envies, dans les sous-commissions.

 

Envisagez-vous d’associer plus étroitement les habitants aux projets et aux décisions ?

Aux réflexions, oui. Nous l’avons déjà fait, d’ailleurs, lors de la réunion pour les travaux de la rue Centrale. Quand il s’agit de grands travaux, il y a toujours une réunion publique, avant de passer des avant-projets sommaires aux avant-projets définitifs. L’équipe décidera, mais, a priori, nous continuerons sur ce type de fonctionnement.

 

Quels sont les projets que vous mènerez si vous êtes élu ?

Déjà, il reste à faire des travaux de voirie assez importants sur la route de Lamure qui n’a pas été aménagée depuis trente ans. Notamment pour la sécurisation des piétons et des vélos. Malgré les deux dos d’âne, ça roule très vite à cet endroit et il n’y a pas de trottoir. Nous envisageons aussi la création d’un kiosque, sur la place des platanes, qui pourrait accueillir, à l’abri, des associations et des manifestations. Nous souhaitons relancer l’idée d’installer le marché au boulodrome. les clients du marché y sont majoritairement favorables. Cela permettrait d’avoir un coin café-croissants, tenu par des associations. Nous avons un autre projet, dont Jean-Pierre Goudard parlera lors de la réunion publique : celui de soutenir l’association Bip Pop qui se développe à l’échelle national. Cette plateforme d’entraide met en relation des volontaires bénévoles et des personnes qui ont des besoins d’assistance ponctuels, pour un trajet en voiture ou pour jouer au Scrabble. Enfin, il faut redynamiser le comité des fêtes, en stand by depuis trois ans.

 

Comment comptez-vous lutter contre la pénurie annoncée de médecins sur la Vallée ?

C’est un gros problème. Parallèlement aux médecins en place, qui cherchent de leur côté, nous avons déjà essayé de trouver des médecins libéraux susceptibles de s’installer chez nous. Jusqu’à présent, nous n’avons pas eu de succès. Les remplaçants qui viennent ponctuellement en Vallée d’Azergues ne veulent pas se fixer ici. Actuellement, nous travaillons avec l’hôpital qui cherche à embaucher un à deux nouveaux médecins. Nous proposons aux candidats de faire un peu de libéral en plus, quelques demi-journées. Par ailleurs, la cabine de télémédecine permettra peut-être de dégager un peu de temps aux médecins.

 

Pas de médecin salarié, donc ?

Parmi les maires de l’ancienne communauté de communes qui se sont concertés, la majorité était contre. De plus, nous disposons d’exemples de communes proches où ça s’est mal passé. Mais c’est un sujet préoccupant...

 

Que prévoyez-vous pour la revitalisation commerciale du village ?

Nous cherchons des repreneurs au Grandrisien. Nous sommes prêts à continuer à l’aménager si c’est nécessaire, à discuter du loyer, à donner un coup de pouce pour l’installation. Nous avons bien eu des contacts mais ils n’ont rien donné pour l’instant. Même si Grandris n’est pas dans la vallée, il est pourtant possible d’en vivre. A Saint Nizier, village plus petit, le restaurant marchait bien. Concernant le Vival, nous avons pris nos responsabilités en 2008 quand le bâtiment était à vendre, ce qui a permis de le regrouper avec le bureau de tabac. Il faut absorber ces dépenses dans le budget de la commune.

 

Serait-il possible de proposer au repreneur du Grandrisien de faire les repas pour la cantine ?

Oui, à condition de réaménager la cuisine et de trouver un moyen de transport pour les repas, jusqu’à l’Odyssée. Ensuite il faut qu’il puisse s’en sortir au niveau des tarifs. La question de la cantine génère beaucoup de crispations et c’est de pire en pire avec le prestataire. Il y a donc des choses à faire, mais c’est un vrai casse-tête.

 

Avez-vous des projets pour adapter la commune au changement climatique ?

Nous avons déjà beaucoup agit au niveau des énergies fossiles. Il nous reste une dernière grande salle fonctionnant au fioul : l’Odyssée. Nous avons trouvé des subventions qui devraient nous permettre de passer à une chaudière granulés en 2020. Tous nos bâtiments seront ainsi chauffés à partir d’énergies renouvelables. En plus de la chasse aux salles allumées pour rien, ce qui coûte très cher, nous avons également commencé à réduire l’arrosage, en récupérant l’eau de pluie, en paillant les bacs et en changeant certaines essences de fleurs. Nous sommes descendus à deux arrosages par semaine au lieu de trois.

Nous essayerons aussi de mettre en place une aide à l’achat de récupérateur d’eau pour les habitants. Sur le partage des usages de l’eau, il pourrait y avoir une concertation au niveau du bassin versant, mais pas de la commune seule. Quant aux retenues collinaires, je pense qu’il faut trouver un juste milieu en étudiant la taille de ces retenues, la manière dont elles seront conçues, à quoi elle serviront, leur impact sur les rivières... Plus généralement, nous sommes favorables à une concertation entre tous les acteurs de l’environnement : agriculteurs, chasseurs, pêcheurs, randonneurs…

 

Sur la mobilité, vous avez des idées ?

Il y a la plateforme Bip Pop pour mettre en relation les gens qui habitent les uns à côté des autres. Sinon, nous nous battons en permanence avec la SNCF pour l’amélioration du cadencement de la ligne sur laquelle la Région a énormément investi. Nous nous mobilisons aussi pour que les bus continuent de passer par Grandris.

 

Souhaitez-vous renégocier certains choix avec la COR ?

Nous nous sommes déjà battus pour que la COR réinstalle des points de collecte des déchets – au centre du village ou dans les hameaux – et il faut continuer à négocier avec elle car des problèmes persistent. Mais les déchets sont une compétences obligatoire de la communauté de communes que l’on ne peut pas remettre en cause. Tout n’est pas bon dans le fonctionnement de la COR ; il faut discuter avec elle. Mais elle aide les communes, malgré tout, en permettant la mutualisation de nombreux travaux ou l’équipement informatique des écoles, avec les tableaux blancs. Au niveau de l’eau, il y aura également des choses à faire ; regrouper plusieurs syndicats par exemple.

N.G.

lun.

17

févr.

2020

Municipales : la deuxième liste en lice

Baptisée "Bien vivre à Grandris", la deuxième liste pour les municipales est désormais connue. Menée par Lionel Guisard, elle organise une réunion publique le vendredi 6 mars à 20 heures, à l'Odyssée.

lun.

17

févr.

2020

Rectificatif

Suite à la publication du précédent article, Madame Jomard précise ceci : "Nous n'avons pas affirmé vouloir faire du Grandrisien un café associatif. Tant qu'aucune discussion/négociation n'a eu lieu avec le locataire actuel, nous ne pouvons pas inclure ce projet à notre programme. En revanche, la création d'un café associatif est en effet un sujet clé de ce programme."
Vérification faite, c'est tout à fait exact : le Grandrisien n'a pas été nommé.

dim.

16

févr.

2020

Municipales : première réunion publique

La première réunion publique de la liste menée par Pascale Jomard pour les municipale, "Ensemble, Citoyens à Grandris", s’est déroulée, le 14 févier dernier, en soirée, à l’Odyssée, devant une salle bien remplie. Détails.

 

Entre plusieurs courtes présentations de chacun des candidats, divers par leur métier, leur sensibilité, leurs investissements dans la commune ou leurs parcours, Pascale Jomard a présenté les principes et les grandes lignes de leur projet.

 

Communication tout azimut

Première préoccupation citée par la tête de liste : la communication. S'il n'est pas facile « de parler avec beaucoup de personnes et de recueillir leur avis », les candidats se disent prêts, une fois élus, à accueillir chacun et à discuter avec tous, de tous les sujets. L’équipe s’engage également à diffuser ses informations en utilisant tous les médias et tous les supports à sa disposition, du BIM au site Internet en passant par Facebook.

 

Participation des habitants

A l’inverse, pour tout nouveau projet, le groupe souhaite solliciter la participation des habitants, via des réunions publiques plénières ou des réunions de quartier, mais aussi par la mise en place de commissions consultatives participatives. Avec une publication sous huit jours du compte-rendu de toute décision et des conseils municipaux. L’équipe assure être également en train de mettre en ligne une plateforme participative permettant de lui faire remonter sujets et questions. Jusqu’au 13 mars, une boite à idée est en outre disponible à la boulangerie.

 

Cinq thèmes principaux

Redynamisation du village, accès à la mobilité, bien-être, consommation, embellissement : Pascale Jomard a ensuite développé les cinq thèmes de sa liste, articulés autour du mot ensemble. « Ensemble, cela signifie avec vous », a-t-elle précisé. Parmi les promesses phares des candidats : l’installation d’un médecin salarié de la commune, l’ouverture de nouveaux commerces en fonction de la demande, l'accroissement des activités du comité des fêtes et la réouverture du Grandrisien sous la forme de café-associatif, un rapprochement avec des associations pour améliorer la mobilité des hameaux vers le bourg ou du village vers l'extérieur, une réflexion sur la qualité des repas servis à la cantine scolaire et aux personnes âgées, de la concertation avec les jeunes pour développer des projets qui répondent à leurs attentes.

 

Gestion des ressources

Sur la question environnementale, l’équipe se veut modeste mais elle espère encourager une meilleure gestion de la ressource, notamment en eau. « Beaucoup de personnes ont des puits mais ne s’en servent  pas. Pourquoi ne pas envisager un achat groupé de petites pompes ou des cuves de récupération d'eau de pluie ? », a suggéré Pascale Jomard. Cette dernière propose aussi la mise en place de composteurs et de broyeurs pour les déchets verts, ainsi que le développement des initiatives en termes d’énergies renouvelables. L’embellissement du village est également au programme avec, notamment, un soutien à la rénovation des façades, y compris celle du clocher.

 

Une autre gouvernance

Un questionnaire devrait par ailleurs être proposé aux habitants afin de revoir avec eux les sens de circulation dans certaines rues et, si nécessaire, l’emplacement des ralentisseurs. Les candidats rêvent aussi de créer un jardin ou d’une place verte. « Nous aimerions votre retour sur ces premier points », a insisté Pascale Jomard, avant de détailler le fonctionnement possible du conseil municipal autour d’une quinzaine de commissions, sous la houlette d’un adjoint ou d’un conseiller, favorisant un partage homogène des responsabilités.

 

Débat ouvert

La deuxième partie de la soirée était consacrée à la discussion, par petit groupe, de manière informelle, afin de recenser les « préoccupations »  des habitants, ce qui les « touche au quotidien ». A cet effet, plusieurs boîtes étaient disposées dans la salle, destinées à recueillir leurs avis. Prévue le 13 mars prochain, une deuxième réunion publique permettra une restitution des suggestions et des remarques soumises aux candidats par les habitants.

N.G.

 

Médecin - « En tant que commune, nous devrons investir pour l’installation du médecin. Nous devrons payer son salaire et probablement celui d’une assistante mais en contrepartie nous recevrons le remboursement des actes médicaux. C’est une formule qui marche bien et qui est très vite favorable à la commune. »

Verbatims

Animations - « Le comité des fêtes aurait l’initiative d’organiser des évènements durant l’année destinés à tous les habitants. Nous ferons appel à toutes les idées, toutes les bonnes volontés. »

 

 

Commerces - « Nous avons l’intention de faire appel aux bonnes idées pour voir ce qui manque à Grandis (….). Nous ferons notre possible pour faire de la publicité, voir les locaux disponibles, estimer les travaux, discuter avec la COR des aides possibles. Pas forcément des commerces ouverts tout le temps mais peut-être ponctuellement. »

 

 

 

 

 

 

 


> Les quine candidats sont retraités, fonctionnaires, employés, commerçants, chefs d'entreprise… Certains sont nés à Grandris, d’autres viennent juste de s’y installer. Leur envie première : « faire de Grandris un village un peu plus animé ».

 

lun.

03

févr.

2020

Municipales 2020 : cette fois, c'est parti !

"Ensemble, citoyens à Grandris", c'est le nom de la première liste candidate officiellement connue pour les municipales de mars, menée par Pascale Jomard. En attendant de les rencontrer, vendredi 14 février à 20h30, salle de l'Odyssée, à l'occasion d'une réunion publique, il est possible d'en savoir (un peu) plus sur Facebook. A quand des nouvelles d'une seconde liste ?

lun.

03

févr.

2020

Les citoyens s'interrogent

Photo de Nicole De Khors sur Burst

En attendant les premières réunions publiques, voici un nouveau point soulevé par un Grandrisien : celui du soutien apporté aux aînés. "Serait-il possible d'envisager des logements adaptés de type Marpa ou Marpa simplifiée ? Au niveau de la Cor ou dans chaque village ?", demande-t-il. Une solution qui serait moins onéreuse et plus conviviale qu'un Ephad, souligne-t-il.


Les Marpa, qu'est-ce donc ?  Il s'agit de maisons d’accueil rural pour les personnes âgées. Aujourd’hui rebaptisée maison d’accueil et de résidence pour l’autonomie, elles accueillent 24 personnes au maximum.
Pour en savoir +, c'est ici.

mar.

10

déc.

2019

Alors on fait quoi ? Le retour

 

 

Les élections, c'est dans J – 100 (ou J – 106 pour être plus précise). En coulisses, on s'active semble-t-il. Reste à espérer que, cette fois, les Grandrisiens seront enfin écoutés et consultés. Voici les remarques et les suggestions qui sont remontées jusqu’au Petit Grandris. Une petite pierre à l'édifice. Et vous, vous en pensez quoi ?


Voici les remarques, les préoccupations et les suggestions qui sont remontées jusqu’au Petit Grandris. Elles sont ici classées par thème. Attention le Petit Grandris fait office de courroie de transmission. Ce qui suit ne traduit donc pas forcément les propres idées de l'auteure de ce blog… Mais l’intelligence collective n’implique-t-elle pas de commencer par écouter l’autre ?

 


Thème numéro 1 - Constituer des comités populaires

 

Ou des commissions qui pourraient être consultées par le conseil municipal pour les sujets impactant l'avenir. C’est la première idée qui a émergée. Ce type de structure existe déjà.
A Mulhouse, par exemple, une Agence de la participation citoyenne a été créée. Cette structure autonome anime des conseils participatifs, des rendez-vous citoyens et une plateforme numérique de débat proposant aux habitants de voter sur les projets en cours et de soumettre leurs propres idées. La proposition d’une personne recevant le soutien de 250 autres est examinée par le conseil municipal. En savoir + ici

La ville belge de Marche-en-Famenne a consulté plus de 10% de sa population pour le design de sa nouvelle place. Les citoyens ont voté pour quatre projets différents. L'analyse des contributions a permis aux élus de mieux cerner les différentes attentes de la population.


> Selon le Cevipof, 72 % de Français sont favorables à  la mise en place de budgets participatifs dans leur ville et 81 % jugent importante la transparence des débats  sur la gestion communale.

Un contributeur propose de créer un comité « village fleuri » et un autre comité « bricoleur » pour effectuer de petites réparations dans le village. Cette approche participative pourrait aussi, selon une contributrice, développer la solidarité entre les habitants : pour partager des loisirs, par exemple, et pour donner vie à certains projets.

 

Thème numéro 2 - Favoriser une meilleure communication et une meilleure coopération entre associations

 

Coopérer entre associations présente de nombreux avantages : faire des économies d’échelles, mieux répondre aux attentes des bénéficiaires, décloisonner les activités, apporter des réponses collectives, concertées, coordonnées à des  objectifs communs ; mais aussi gagner en compétences, éviter l’isolement qui fragilise les structures, mieux identifier ses possibilités, ses  limites… Le Mouvement associatif a publié un document très intéressant sur ce thème.

 


Thème numéro 3 - Attirer de nouvelles entreprises sur le territoire

 

Un réseau Villages d'accueil existe dans le Beaujolais vert, soutenu par Le Pays Beaujolais. Vocation de cette structure : accompagner les porteurs de projet et les aider à construire leur parcours. Mais cela ne suffit pas. D’autres idées sont sans doute à piocher du côté de la Caisse des dépôts (et de sa Banque des territoires), de BPI France, mais surtout du Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET).

 

Un contributeur suggère par ailleurs de mener l’enquête auprès de ceux qui sont partis pour comprendre les raisons de leur départ et trouver des solutions.

 


Thème numéro 4 - Rendre le village plus gai

 

Cette question est sans doute à poser aux habitants… Voir thème numéro 1.

Une habitante souhaite également l’ouverture d’un « bar convivial »… Une autre soulève la question récurrente des déjections canines. Un troisième déplore l’aspect inesthétique de certaines zones d’activité au sein du village. Le même se déclare peu adepte des peintures murales « même si l’idée est sympa ». Il préfèrerait « que l’argent dépensé » soit consacré à réparer le crépi ou à repeindre les façades de ces bâtiments. Précisons que ces projets artistiques relèvent d’un accord avec les propriétaires des murs. Ce sont eux qui mettent leurs murs à disposition des graffeurs avec le feu vert de la mairie. La commune ne participe pas financièrement aux projets.

 

Un contributeur suggère de redonner vie aux espaces de commerce vides en permettant l’utilisation de leur vitrine pour présenter les activités des petites entreprises locales ou de mettre ces magasins à disposition des petites entreprises pour une courte période (six mois à un an).

 

Le même contributeur aimerait que l’ancienne pharmacie devienne une « bibliothèque de jouets » pour la petite enfance. Des échanges de jouets en bon état pourraient s’y dérouler pour des périodes d’une semaine à un mois. « On pourrait imaginer des bénévoles tous les mercredis et samedi  pour s’en occuper ».

 


Thème numéro 6 - Redonner vie au Grandrisien

 

Un contributeur aimerait que l’ancien restaurant  soit mis à la disposition des habitants pour l’organisation de soirées conviviales (chacun apporte une assiette/une boisson), pour accueillir les randonneurs ou organiser un repair café un samedi par mois.



Thème numéro 7 - S’attaquer au problème des maisons laissées à l’abandon


Il s’agit là d’une question de droit : des recherches juridiques plus poussées restent à faire...

 


Thème numéro 8 - S’assurer que les médicaments soient livrés au village


En se mettant d’accord avec la nouvelle pharmacie de la Folletière pour qu’elle collecte les ordonnances et livre les médicaments.

 


Thème numéro 9 - Restructurer le parking devant la mairie


Pour l’un des contributeurs, « les emplacement des vélos ne servent à rien » et les place en arrondies ne facilitent pas les manœuvres. A débattre sans doute.

 

Et vous ? Vous en pensez quoi ?

N.G.

 

Quelques documents intéressants

Synthèse de la 4ème journée ASSOCIA'CTIVE 18 avril 2016
Coopération-avec-les-associations-levier
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Publié par Mairieconseils, une émanation de la Caisse des dépôts, un recueil de 50 réalisations exemplaires de communes de moins de 3500 habitants.
50 realisations commune.pdf
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ven.

22

nov.

2019

Un kit pédagogique pour initier le débat

 

Amorcer des réflexions sur le développement local et aborder cette question de manière pédagogique, en embarquant sur le même bateau élus et citoyens... Tout cela n'a rien d'évident.

 

 

C'est pourquoi le collectif Les localos propose d'organiser partout en France, le 13 décembre prochain, une Nuit de la démocratie et du territoire, de 18 h à 22 h (et plus si affinités). Un temps démocratique dédié aux questions que se posent de plus en plus de citoyens : peut-on être acteur du changement d’un monde vacillant à partir du local ? Pourquoi ? Comment ?

"L’engagement des citoyens et des élus locaux autour d’une mise en mouvement des territoires est primordial en ces temps de crises et d’urgence et sociétales", estime le collectif qui souhaite "Donner du temps de lecture, du temps d’échanges collectifs et de mises en perspective démocratiques des enjeux et des envies."

 

Les Localos et la Librairie des territoires mettent un kit de communication et différents outils à disposition des élus, des associations et des collectifs qui souhaitent organiser un évènement.

En savoir plus et/ou organiser un évènement : https://www.localos.fr/nuit/
En savoir plus sur cette association : https://www.localos.fr

mar.

19

nov.

2019

Municipales : l'ADEME coache les candidats

 

Comment améliorer la qualité de la restauration scolaire ? Produire une énergie propre ?

S’appuyer sur les habitants pour transformer le territoire ? Conjuguer développement durable et développement économique ? Initier une démarche « zéro déchets ? » Parce que les futurs maires deviendront des acteurs clé de la transition écologique – et qu’ils ont aussi besoin de soutien –, l’ADEME vient de publier un guide pratique à leur intention.

 


Des fiches pédagogiques
Baptisé « Demain mon territoire », l’ouvrage comporte 20 fiches très concrètes. Construites à partir des retours d’expériences des collectivités accompagnées par l’ADEME, ces dernières sont divisées en plus plusieurs parties, enrichies de chiffres-clés : Pourquoi ? Comment faire ? Ils le font déjà. De quoi étayer positivement les propositions des candidats en vue d’amorcer ou d’amplifier la transition écologique, mais aussi, pour les citoyens, alimenter le débat en amont comme en aval...

Une question qui fait consensus
Les Français sont nombreux à mettre la question environnementale en tête de leurs priorités et de leurs attentes vis-à-vis de leur prochain maire, devant le maintien des services publics et la sécurité. Selon le Cevipof, 72 % sont également favorables à  la mise en place de budgets participatifs dans leur ville et 81 % jugent importante  la transparence des débats.

N.G.

CP-Guide-ADEME-Demain-mon-territoire_nov
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Quelles marges de manœuvre pour un maire ?
Par sa proximité avec les citoyens, le maire peut traduire les enjeux en projets concrets et encourager chacun à changer ses habitudes. Au sein des EPCI (Établissement public de coopération intercommunale), il peut également porter des projets à une l’échelle intercommunale.


jeu.

14

nov.

2019

Alors on fait quoi ? La suite

Dans quatre mois et demi, ce sont les municipales. Dans un billet du 8 novembre, je vous proposais de recenser ici vos idées, vos questions, vos préoccupations, pour notre avenir commun à Grandris. Quelques idées commencent à émerger.


Bientôt, nous mettrons notre bulletin de vote dans l'urne - ou pas - pour élire une nouvelle équipe municipale. Avec quel programme ? Quelles solutions nouvelles ? Quelles ambitions pour le bien de tous ? Dans un billet du 8 novembre, je vous suggérais de recenser ici vos idées, vos questions, vos préoccupations, vos points de vue, dans un esprit constructif, afin d’ouvrir le débat et de réveiller notre intelligence collective.

 

Une première idée nous a été proposée : constituer des comités populaires qui pourrait être consultés par le conseil municipal pour les sujets impactant l'avenir.

 

Une question a également été posée : comment faire pour favoriser une meilleure communication et sans doute une meilleure coopération inter associations ?

 

Qu’en pensez-vous ? Avez-vous des expériences à partager sur ces deux sujets ?

 

Ecrivez-nous à cette adresse : lepetitgrandris@gmail.com

 

jeu.

14

nov.

2019

En quête d'harmonie ?

Si son répertoire a bien changé en près de 159 ans - passant allègrement des morceaux classiques à ceux de Renaud, d’Offspring ou de Trois cafés Gourmands -, faire de la musique d’animation en groupe reste l’ambition de l’Harmonie chamelo-grandrisienne L’Écho de la montagne.

 

Actuellement composée d’une vingtaine de musiciens amateurs, l’harmonie aimerait en recruter de nouveaux. « De tous âges et pratiquant tout instrument susceptible d’être joué en extérieur et en mouvement », précise Paul Peyroche, son président. En 2021, le groupe participera notamment au Festival de fanfares "Festi'vallées". « Peut-être l'occasion d'une grande fête multi associations à Grandris », suggère Paul Peyroche

 

Contacter l’association : 06 76 98 35 69 et echodelamontagne69@gmail.com
En savoir plus : https://www.facebook.com/Echo-de-la-Montagne-Grandris-Chamelet-643378539040230/

ven.

08

nov.

2019

Alors on fait quoi ?

A Grandris, plus de médecin, plus de pharmacie, plus de restaurant et presque plus de Poste. Notre village s’endort doucement. Alors on fait quoi ? Quoi pour le dynamiser ? Quoi de plus pour la santé, l’environnement, la mobilité, les personnes isolées ou âgées ? Quoi pour mieux vivre ensemble ?

 


Dans quatre mois et demi, ce sont les élections municipales. Même avec de la bonne volonté, aucun groupe d’élus ou de candidats ne peut, selon moi, détenir à lui tout seul les solutions les plus pertinentes pour notre avenir commun. Nous avons tous de bonnes idées, des compétences particulières, des talents, des rêves… Mettons-les en commun pour plus d’intelligence collective.
Je vous propose de recenser ici vos idées, vos questions, vos préoccupations, vos points de vue dans un esprit constructif (et dans le respect de la loi : pas de discrimination, d’attaque vis-à-vis des personnes, etc.). Je ne fais partie d’aucune liste, c’est donc une démarche collaborative et objective que j’essaie de vous proposer.
Rappelons que ce sont nos élus qui siègeront à la Communauté de communes, à Tarare, et qu’ils feront aussi partie de ceux qui éliront nos sénateurs. Rappelons enfin que cette future mandature correspond grosso modo au laps de temps qu’il nous reste pour amorcer une vraie transition climatique et nous adapter aux changements à venir. Alors, vous en pensez quoi ?

 

> Pour envoyer vos mails : lepetitgrandris@gmail.com

mar.

04

juin

2019

Danse en haute Azergues : un petit goût de paradis

S’ils ont aujourd’hui disparu, ils font toujours partie de notre culture et de notre quotidien. France Gall, Michel Berger, Marilyn Monroe, Michael Jackson, ou encore Trenet, Bourvil, Aznavour, Aretha Franklin… Cette année, le gala de Danse en Haute Azergues rend hommage à nos stars préférées, parties rejoindre d’autres galaxies.

 

Des petites esquissant leurs premiers pas chassés aux collégiennes déjà bien fermes sur leurs pointes, les quelques 70 élèves de l’association ont travaillé dur, toute l’année, pour nous mettre des étoiles plein les yeux, les 22 et 23 juin prochains.

Ce spectacle sera aussi l’occasion de revoir Enzo Convert, devenu professionnel au Tulsa Ballet  (Etats-Unis), en vacances dans la vallée.

 

 

Quand ? Samedi 22 juin à 19 heures, dimanche 23 juin à 16 heures, à la salle de spectacle de Chambost-Allières. Tarifs : Adultes 9€, enfants (3 à 12 ans) 5€. Réservations : danse.hauteazergues@laposte.net ou 06 99 311 321

jeu.

20

déc.

2018

Cahiers de doléances : à Grandris aussi

Comme beaucoup d'autres, partout en France, la mairie de Grandris met un "cahier de doléances" à la disposition du public. L'occasion de transmettre vos préoccupations et vos revendications. Pas de date précisée pour l'instant pour la fin du dispositif. A vos stylos, à vos neurones.

 

La mairie est ouverte au public du lundi au samedi de 8h30 à 12h30. Tél. : 04 74 03 07 80.

ven.

09

nov.

2018

Faune grandrisienne : mais qui sont ces serpents ?

 

Mal aimés, les serpents sont surtout bien mal connus du public... Quelques explications - d'un spécialiste et admirateur - sur les serpents présents dans notre région : J.C. Fact.


 Il suffit d’évoquer les serpents dans une conversation entre gens sensés pour entendre : « c’est froid », « c’est gluant », « j’en ai la frousse », « je les écrase », « c’est très dangereux, mortel, méchant, diabolique, moche, horrible »… Et il est étonnant de constater que les réactions les plus violentes, de même que les croyances les plus erronées, viennent en général des personnes qui vivent à la campagne ! Expliquer que la couleuvre est inoffensive et n’a rien à voir avec la vipère relève de l’exploit ; parler de leur rôle dans la nature et des rongeurs qu’elles mangent en grande quantité n’est jamais facile.

 

Des animaux protégés

C’est d’ailleurs parce qu’ils sont utiles que les serpents sont protégés par une loi du 10 juillet 1976. Il faut pourtant persévérer, faire comprendre que les couleuvres sont parfois agressives mais pas dangereuses, que les vipères sont parfois dangereuses mais jamais agressives…

Un caractère réservé
Ces reptiles discrets n’aiment pas le tapage. A peu près sourds, ils sentent pourtant les vibrations du sol et, surtout, n’ont pas leurs yeux dans leurs poches. Animaux à sang froid, ils ne peuvent réguler leur température. De ce fait, ils fuient aussi bien le chaud que le froid. L’été, ils ne sortent généralement qu’en fin d’après-midi ou la nuit. Voilà pourquoi on peut se promener pendant des jours en sans voir un seul,  alors qu’un connaisseur peut en rencontrer des dizaines en une heure ou deux.

Des gabarits différents
Dans notre région, on trouve plusieurs sortes de couleuvres (à collier, vipérines, vertes et jaune, esculape), deux types de vipères (aspic et péliade) et des orvets (lézards aux paupières mobiles). Longues et fines, aussi vives qu’inoffensives, les couleuvres possèdent des yeux ronds. Les vipères, au contraire, sont trapues et leurs yeux ressemblent à ceux des chats en plein soleil. Calmes, elles ne deviennent agressives que lorsqu’on leur marche dessus, ce qui arrive souvent en raison de leur capacité à se rendre invisibles. Leur morsure peut alors être dangereuse. Mais les guêpes, frelons et autre abeilles tuent dix fois plus en Europe. Les serpents ne méritent pas la peur et la haine qu’ils inspirent. Pour la surmonter, il faut en parler, surtout aux enfants, tout en les mettant en garde : on observe mais on ne touche pas ! Un conseil qu’il faudrait d’ailleurs appliquer aussi aux hérissons, araignées, buses, chevreuils, voire à la nature dans son entier.
J.C. Fact.

Serpents

Ce que dit la loi

 

Relatif à la protection de la nature, la loi du 10 juillet 1976 stipule que « la préservation des espèces animales et végétales (…), le maintien des équilibres biologiques auxquels ils participent (…) sont d'intérêt général », mais aussi qu’il est « du devoir de chacun de veiller à la sauvegarde du patrimoine naturel dans lequel il vit. » Un arrêté du 19 novembre 2007 liste les reptiles protégés sur l'ensemble du territoire français et les modalités de leur protection.

mar.

31

juil.

2018

Rando nocturne

 

C'est parti pour la nouvelle rando nocturne du Club du Sapin Vert et de l'AGRAF, le 14 août 2018.

 

Les deux associations vous proposent deux circuits de 5 et 10 km. Départ de 20h30 à 21h30 pour le 10 km, de 20h30 à 22h30 pour le 5 km.

 

Animation astronomie sur les deux circuits, quizz jeunes et observation assurés par l'association O.CE.A.N. de Chazay-d'Azergues. Soupe à l'oignon offerte à l'arrivée.

 

Inscriptions et départ : salle de l'Odyssée. Lampe de poche et portable obligatoires, gilet fluo souhaitable.

Tarif: adultes 8 euros, 6 à 12 ans 4 euros, moins de 6 ans gratuit.
Renseignements : 06 60 88 21 24 ou 06 01 34 10 17

mer.

21

févr.

2018

Epicerie culturelle : et pour la p'tite dame ce sera ?

En attendant la prochaine tournée, une vidéo sympa de celle de 2017.
Un joli film qui nous fait voyager...

> Le film ici

 

> En savoir plus sur l'Epicerie culturelle.

jeu.

05

oct.

2017

Un baz'art grand cru

Youpi, c'est ce week-end !

 

Pour en savoir plus, écouter Marine Chalayer et Frédéric Magnan sur Radio Val de Reins


mer.

27

sept.

2017

HVA : la culture qui pousse à sortir

HVA culture fait sa rentrée avec :
- du cinéma, Vendredi 29 septembre à 20h30, "7 jours pas plus" à Chambost-Allières ;
- un dîner-spectacle, Samedi 14 Octobre à St Nizier, rendez-vous à 19h, Salle des fêtes. Un One Woman Show qui vous entraine dans un tour du monde en 80 shoes, Ça marche pour moi, accompagné d’un repas (salade + paella + tartelette). Tarifs 18 € (enfants - de12 ans : 8€) spectacle seul (21h30) : 8 €. Sur réservation au 04.37.55.03.89 ou par retour mail avant le 6 octobre
- une balade Botanique, dimanche 22 octobre à Chenelette à 14h, rendez-vous devant la salle des fêtes.

lun.

25

sept.

2017

Des fleurs pour un Sou

Rentrée fleurie pour le Sou des écoles de Grandris. Rendez-vous le 21 octobre, place des platanes, pour sa fameuse vente de fleurs de la Toussaint. Accueil chaleureux et produits frais. De 8h à 14h. Prévente possible dans les commerces et large choix sur place. Prix attractifs.

mer.

09

août

2017

Moonwalk à Grandris : le 14 août

ven.

17

mars

2017

C'est le printemps... des poètes

Samedi 18 mars, de 10h30 à 12h30, 
à  Lamure-sur-Azergues (ancienne menuiserie du Quartier Nord),
les Azerguois sont invités à venir lire
et chanter l'Afrique, en compagnie
des écoliers et de quelques collégiens de Lamure, notamment. Chacun peut aussi lire ou déclamer ses textes préférés
.

1 commentaires

ven.

17

mars

2017

Saxo and the city : c'est demain !

Le saxophoniste Ákosh Szelevényi joue à la librairie Compagnon, samedi 18 mars, à 21 heures. Un évènement à ne pas rater.

Saxophoniste du groupe Noir Désir, adepte d’une musique brute, entre folklore magyare et free-jazz,
Ákosh Szelevényi a également remporté un grand succès avec son groupe Akosh S. Unit. Ce qui n’empêche pas cet artiste hongrois épris de liberté de multiplier les expériences en solo, en duo ou en trio avec la contrebassiste Joëlle Léandre ou le chorégraphe peintre danseur Josef Nadj, notamment. Akosh a passé le mur de fer en 1986 et vécu  une vingtaine d'années à Marseille. Désormais, il habite dans son pays natal. Sa venue à la librairie Compagnon est un évènement !

 

En pratique : entrée 10€, places limitées (80), repas facultatif à 5 euros. En guise d'aperçu : https://www.youtube.com/watch?v=LDi0a2x4Oic, https://www.youtube.com/watch?v=1922Gk2h4l8, http://akosh-s.com/


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ven.

17

mars

2017

Brocante du sou des écoles

Dimanche 2 avril, le Sou des écoles de Grandris organise son traditionnelle vide grenier, place des platanes. L'entrée est gratuite, la location de l'emplacement est de 3€ le mètre. Contact : 06 48 48 15 66.

0 commentaires

lun.

20

févr.

2017

Apprendre, à prendre...

Alors que les graines constituent le premier maillon de notre alimentation,
les agriculteurs pourront-ils conserver le droit de ressemer les leurs ?
De plus en plus, la loi tend en effet à contrôler l'utilisation des semences agricoles.
Jeudi 9 mars, la Confédération Paysanne du Rhône organise une soirée-débat sur ce thème, à Lamure-sur-Azergues. Après la projection du film "La guerre des graines" (https://www.youtube.com/watch?v=cb1YjUTvHmc), le débat portera sur cette question : « Les graines sont le premier maillon de notre alimentation... Comment se les réapproprier ? »
Quand ? A 20h.
Où : salle du 1000 club (à coté de la bibliothèque et derrière l’école).
Contacts : 04 78 38 33  ou 9769@confederationpaysanne.fr
La fiche du film écrite pour le festival Alimenterre.
la-guerre-des-graines_0.pdf
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jeu.

16

févr.

2017

Votre cabane au Canada ?

Entreprise spécialisée dans le conseil en gestion IT basée à Montréal, Percy Miller organise une session de recrutement à Lyon les 20 et 21 février pour recruter de nouveaux conseillers commerciaux. Postes basés au Canada.

Descriptif du poste : En contact avec des décisionnaires de PME françaises, le conseiller commercial accompagne les entreprises dans leurs choix de solutions informatiques. Il effectue des diagnostiques visant à définir les caractéristiques et les spécificités de base des projets correspondants à leur système d’information.

Créée en 2004, Percy Miller réalise 4 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte près de 80 collaborateurs et 600 clients dans 15 pays.

Dans le détail : session de recrutement, lundi 20 et mardi 21 février de 9h15 à 17h Agence Cadres et International – Résidence Le Monceau 6 cours André Philip 69100 Villeurbanne. Pour participer, envoyez votre lettre de candidature avant le 17 février à recrut.fr@percy-milller.com. Après analyse du CV et pré-sélection téléphonique, les candidats sélectionnés sont reçus en entretien physique par Mounir Hourimech, Directeur Général Adjoint de Percy Miller, dans les bureaux du Pôle Emploi.

 

Web : www.percy-miller.com/fr/

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mar.

07

févr.

2017

TER : les usagers exaspérés

Lettre ouverte de l'association d'Adélifpaly


Messieurs les vice-présidents chargés des transports en région Bourgogne Franche-Comté et Auvergne Rhône-Alpes

En 4 semaines (entre le 10 janvier et le 7 février), au moins 8 trains pendulaires ont été supprimés sur la ligne Paray/Lyon, soit une moyenne de 2 trains par semaine.

Petit florilège :
Date        Train supprimé                   Raison invoquée par la SNCF        Remplacé par
10/01    05h35 Paray 07h47 Perrache        Agent absent                    report train suivant 7h02 Paray
20/01    07h02 Paray 09h02 Perrache        Indisponibilité matériel            report train suivant 9h54 Paray (3 h plus tard !)
20/01    17h10 Perrache 19h20 Paray        Agent absent                    report train suivant 18h10 Perrache
21/01    05h35 Paray 07h47 Perrache        Indisponibilité matériel            report sur rien ou train 9h54 (+ de 4 h !)
01/02    18h10 Perrache 20h25 Paray        Grève SNCF                    report train suivant 19h17
03/02    07h02 Paray 09h02 Perrache        Indisponibilité matériel            report train suivant 9h54 Paray (3 h plus tard !)
06/02    19h17 Perrache 21h31 Paray        Indisponibilité matériel            C’est le dernier train : Y a-t-il eu un car de remplacement ?
07/02    07h02 Paray 09h02 Perrache        Indisponibilité matériel            report train suivant 9h54 Paray (3 h plus tard !)

Et nous ne vous parlons même plus des retards quasi quotidiens de 5 à 10 mn sans parler de ceux compris entre 20 et 40 mn (voire plus) non notés  mais que nous subissons 2 à 4 fois par semaine en moyenne en ce moment.
Autre constatation liée à ces suppressions : plus aucun car de remplacement ou taxi car la SNCF reporte tout sur le train suivant. Mais quand il faut attendre 3 heures, autant vous dire que l'usager qui va travailler à Lyon ne le fait pas, prend sa voiture ou un jour de congé. Quant au voyageur qui a une correspondance, il n'a plus qu'à demander le remboursement ou l'échange de son billet !
Les usagers sont excédés de ce dysfonctionnement permanent alors que nous subissons déjà depuis fin janvier les travaux en gare de Perrache.

Vous êtes autorité organisatrice des transports collectifs et notamment ferroviaires et financeur en grande partie du service TER : aussi, les usagers vous demandent ce que vous
comptez faire pour exiger de la SNCF qu’elle fasse enfin ce qu’elle est censée faire : transporter les voyageurs aux horaires prévus ?

D’ores et déjà, plusieurs usagers ont prévu de ne pas payer leur abonnement pour le mois prochain au regard du service rendu, d’autant que rien n’est prévu pour dédommager les usagers du TER.

J’espère que vous tiendrez compte de notre exaspération et que vous saurez demander fermement à la SNCF qu’elle améliore rapidement sa prestation des plus dégradée.

Cordialement.
Le bureau et la présidente d’Adélifpaly

PS : À cela s’ajoute la réduction de la plage horaire d’ouverture de la gare de Lozanne depuis ce 1er février 2017 : plus aucune aide aux voyageurs avant 9 h et après 18h pour les renseigner, les dépanner en cas de non-circulation des trains (récurent !), effectuer les liaisons avec la gare routière, plus moyen d’acheter des billets le week-end et des voyageurs obligés d’attendre leur train dehors en hiver. Voilà un avenir prometteur pour les usagers des lignes transitant par Lozanne, gare de desserte de 3 lignes,  et d’autant plus lorsque la ligne Paray/Lyon sera fermée pour travaux !
Sur la ligne, toutes les gares encore ouvertes ont vu régulièrement  leur plage horaire réduite depuis 2015. Paray (la seule encore ouverte le week-end, pour combien de temps encore ?), La Clayette (depuis le 1er juin 2016), Lamure fermée le matin depuis 2015, et maintenant Lozanne depuis ce 1er février 2017.

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jeu.

05

janv.

2017

A l'hôpital

Le Pays du 5 janvier 2017
Le Pays du 5 janvier 2017
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mer.

16

nov.

2016

Trois solistes pour un concert

La librairie Compagnon vous donne rendez vous, vendredi 25 novembre, pour une soirée des solistes. Au programme : Vil François, Shezahee et Des Lalles. Vil François, c'est une guitare, quatre ongles vernis, un renard, tous réunis sur scène pour une musique contemplative, coloriste et doucement mélancolique, enfin, pas que...  Shezahee, ce serait plutôt un bricolage fantôme de mélodies galantes et chiennes, un spleen câblé comme un chien pour mordre. Quant à Des Lalles, on ne sait pas trop. Mais il pourrait s’agir des petits interstices entre les objets ou les stigmates douloureux qui apparaissent sur le pelage de certains animaux qui n'ont jamais existé. Ou encore, peut-être, une référence obscure à un ouvrage qui sera écrit au siècle prochain. 

 

Quand ? 25 novembre, soupe pain fromage (5 euros) à 19h, puis concert.

Prix : libre (au chapeau) mais nécessaire.

Public : chiens prohibés, enfants sages bienvenus.

A noter : dernière soirée à la librairie avant le grand concert d'Akosh en mars 2017. La soirée No Hellfest aura lieu le 17 décembre à la salle polyvalente de Grandris avec Skube, Chrom! et Guess What.

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mar.

15

nov.

2016

Objectif Douceur

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mar.

15

nov.

2016

Le coworking : c'est aussi à Lamure

Journée Portes Ouvertes le 24 novembre de 9h à 17h.
Depuis mai 2016, à Lamure-sur-Azergues, la Cordée propose une nouvelle offre aux auto-entrepreneurs, travailleurs indépendants et autres créateurs d'entreprises : un espace de travail partagé.
Intérêt d'un tel dispositif : une démarche mutualisée qui permet aux entrepreneurs de partager, d'échanger sur leurs problématiques et de bénéficier du réseau des acteurs économiques du territoire.  > Je vais voir.
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jeu.

10

nov.

2016

La Ruche et Aloalo : un atelier de cuisine

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jeu.

10

nov.

2016

VHB : une offre d'emploi

Une offre d'emploi pour un poste de responsable EAJE au sein de VHB.
Le contrat proposé est un CDI à temps partiel à partir du 5 janvier 2017 (voir pièce jointe). Les candidatures sont à faire parvenir au plus tard le 2 décembre 2016

offre emploi responsable structure d'acc
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jeu.

03

nov.

2016

Harmonie dans la fratrie

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mer.

05

oct.

2016

Quand la ferme s'ouvre au public

C'est journée porte ouverte, dimanche 16 octobre, à la ferme Corgier-Cherpin. Une visite aussi intéressante que gourmande.

L'essai avec été plus que concluant, l'année dernière. Dimanche 16 octobre de 10h à 19h, la ferme Corgier-Cherpin de Chambost-Allières organise une nouvelle journée portes ouvertes. Au programme : visite des lieux, agrémentée de panneaux explicatifs à chaque point stratégique (enclos, tank à lait, réserve de foin ou d’ensilage, fumier….), stands de producteurs locaux (vins, charcuterie, confitures, terrines, confiseries), dégustation de fromages et de lait entier, repas champêtre à midi, traite des vaches à 17h30.

 

 

L’établissement qui compte quelque 150 bêtes, nourris avec les céréales de la ferme, a adopté le principe d’une agriculture raisonnée : respect de l’environnement, maîtrise des risques sanitaires, santé et sécurité au travail, bien-être des animaux. Elle transforme en moyenne 700 litres de lait par semaine. Lait cru, barquettes de fromages blancs, fromages secs et steaks hachés surgelés sont en vente directement à la ferme tous les samedis matins et en semaine sur rendez-vous, mais aussi sur le marché couvert de Villefranche-sur-Saône, le vendredi et le samedi matin. Tél. : 04 74 60 15 50.

 

 

 

 

Prix du repas : 10€/adulte et 5 €/enfant (charcuterie artisanale, steak haché maison, pommes de terre, fromages maison et tarte). Possibilité de réserver au 06 19 18 04 78.

 

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mer.

05

oct.

2016

Grandris tout en baz'art

 

Une vingtaine d'expositions, une douzaine de lieux...

Ce week-end, les artistes grandrisiens et leurs invités mettent un sacré baz'art à Grandris.

 

> En savoir plus

 

Pour la cinquième année consécutive, le collectif C'est quoi ce baz'art organise un week-end atelier portes ouvertes, avec une belle collection d'artistes invités. A découvrir et à admirer en accès libre.

On range, on accroche, on peaufine, on croque encore un peu… Imperceptiblement, la tension monte dans les ateliers et les anciennes usines de Grandris. Le village s’apprête à vivre la cinquième édition de ses « ateliers porte ouverte », organisée sous l’égide du collectif d’artistes et de créateurs « C’est quoi ce baz’art ». D’année en année, le principe reste le même : permettre aux amateurs d’art – et à ceux qui s’ignorent encore – de flâner d’un lieu à l’autre, tout un week-end, d’échanger, de papoter, de découvrir des styles, des techniques, des approches différentes, en compagnie de leurs auteurs, bazartiens de souche et invités.


Peintres, sculpteurs, vannier, graveurs, joaillère, potière, designeurs, créatrices textiles… Cette année, ils seront vingt-trois à exposer. Certains venus de loin, de l'Ain ou de Lyon notamment. D'autres venus en voisins, comme Osru, adepte de l'art-graffiti, récemment arrivé à Lamure-sur-Azergue ou le jeune photographe iconoclaste Jordan Roche, lui aussi fraîchement installé dans cette commune, passionné par les recherche sur les différents matériaux sensibles à la lumière. Parmi la douzaine d'espaces investie par les artistes, parfois très improbables, de nouveau lieux sont ouverts cette année : l’atelier des « p’tits potiers », à l’école municipale, l’ancien Crédit Agricole, bientôt promis à la démolition, ou encore la roulotte de Marie Jeannin.


A noter : la potière Chantal Sabatier proposera des démonstrations de tour, dans son atelier, samedi. Si le temps le permet, dimanche, elle installera également un four à bois dans son jardin avec défournement des pièces vers 16h. Enfin, un nouveau livre des Editions grandrisiennes Un chat la nuit sera à découvrir. Une publication 100% circuit court... Dates et horaires : samedi  8 et dimanche 9 octobre, de 10h à 13h et de 14h à 19h. Entrée libre. Restauration possible sur place, dans différents espaces. Plus d’informations sur les exposants : https://www.facebook.com/CestQuoiCeBazart/

> Un document à télécharger pour en savoir plus sur la manifestation.

CQCB-DOSSIER DE PRESSE2016.pdf
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jeu.

18

août

2016

Une cure de Poirot

 

 

 

 

Sa vie est un vrai roman.

Et vice et versa.
Samedi 10 septembre

à 15 heures, La Ruche

et la médiathèque de Grandris vous proposent une palpitante conférence sur Agatha Christie.

Avec le conférencier Christian Furia.

A l’Odyssée. Entrée libre. Une rentrée littéraire inratable !

 

Informations :  http://laruchebourdon.jimdo.com


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mar.

26

juil.

2016

Hôpital : ils comptent sur vous !

 

Disposer d’un minibus permettrait aux résidents de l’hôpital de Grandris de pratiquer de nombreuses activités sociales ou sportives. L’association Douceur de vivre se mobilise pour leur offrir ce rêve et lance un appel aux dons.

Chantal rêve d’aller à Villefranche « faire les magasins ». Jacques se laisserait bien tenter par la piscine. Quant à Marie-Noëlle, elle adorerait visiter la roseraie du Parc de la Tête d’or. A l’Ehpad de Grandris, les résidents ne manquent pas d’idées pour occuper utilement leurs journées : balade au lac des sapins, pique-nique, guinguette en bord de Saône, cinéma, escapade au parc des oiseaux de Villars les Dombes, musées, bowling, spectacles… Ou tout simplement achat de fruits au marché pour faire des confitures à l’atelier cuisine. « Ils ont vraiment besoin de sortir. Pour eux, c’est une joie de se retrouver dans la vie quotidienne, au milieu de tout le monde », souligne Françoise Bibos, vice-présidente de la très active association Douceur de vivre, créée en 1997 pour « promouvoir la vie sociale et culturelle, le divertissement et le bien-être des malades et des résidents de l’hôpital. »

 

Oui mais voilà : pour envisager toutes ces activités, surtout si l’on se déplace en fauteuil, il faut un véhicule adapté. Or l’hôpital n’en possède plus depuis quelques années. Avec patience et persévérance, Douceur de vivre se démène donc depuis trois ans pour réunir les fonds nécessaires à l’achat d’un nouveau minibus Nissan (LPH2) aménagé pour les personnes handicapées. Susceptible d’accueillir deux accompagnateurs et sept résidents dont un en fauteuil ou cinq résident dont trois en fauteuil, il est surélevé, équipé d’un hayon élévateur pour les fauteuils et de vitre surbaissées afin d’assurer une meilleure visibilité aux passagers, modulable et climatisé. Son coût : 64 900€. « Sans dépense inutile, nous avons opté pour celui qui convenait exactement à notre public, en termes de confort et de sécurité », explique Nicole Mongouin trésorière de l’association.
La fondation de France, la Fondation Bruneau, la Carsat, le Crédit agricole, le député Patrice Verchère et l’association elle-même ont versé la majorité des fonds, mais il manque encore 10 000 euros pour boucler le plan de financement.

 

Douceur de vivre lance donc un appel pressant à la générosité des habitants, des entreprises du territoire. « Nous sommes tenus à un calendrier strict, fin octobre 2016 au plus tard, non seulement vis-à-vis du constructeur, mais aussi des fondations », prévient Gérard Couleur, Président de Douceur de vivre. Pour participer, il suffit de devenir adhérent de l’association. Les sommes versées font l’objet d’un reçu fiscal. Elles bénéficient ainsi d’une déduction fiscale de 66% pour les particuliers (un versement de 10€ ne coûte au final que 3 ,4€) et de 60% pour les entreprises. Les fournisseurs et partenaires de l’hôpital seront aussi sollicités, mais chaque geste comptera.

 

Le groupe de musique Les Banbanes à déjà répondu présent en proposant un concert bénévole cet automne, à Grandris. « Avec ce minibus, nous pourrons aussi envisager des sorties qui entrent dans le cadre de projets plus importants comme l’organisation d’olympiades, de jeux entre Ehpad et même un séjour de vacances de quelques jours », détaille Laurianne Sartre, animatrice de l’hôpital. Une soixantaine de résidents sont concernés, rappelle Gérard Couleur.

« Ces activités sont importantes pour leur plaisir mais aussi pour leur indépendance. Si on pouvait leur offrir ça, se serait magnifique ! ». L’Ehpad n’est pas qu’un établissement, c’est un lieu de vie, insiste Françoise Bibos. « C’est pour ça qu’on se bagarre et on compte bien y arriver ! »

Nadia Gorbatko.

 

Informations pratiques : chèque à libeller à l’ordre de l’Association Douceur de vivre. Tél. : 04 74 03 18 50. Courriel : gerard.couleur@orange.fr

Une petite Douceur de vivre avec votre café ?

L’association Douceur de vivre qui compte 70 adhérents dont une vingtaine très active ne ménage pas son énergie pour rendre la vie des résidents plus belle et plus stimulante. Toute l’année, elle tient une petite boutique au sein de l’hôpital. Elle organise des concours de belote, des sorties, une fête de la musique, un printemps des poètes…

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lun.

11

juil.

2016

HVA veut votre photo ! Et vos histoires

Faire des rencontres « inoubliables » au cœur des villages, découvrir des personnes de caractère, des figures emblématiques du terroir et recueillir leurs témoignages, leurs anecdotes, des bribes d’histoire locale… C’est le pari fait par HVA Culture en partenariat avec le conteur Michel Billet.

 

Yeux et oreilles aux aguets, celui-ci sillonnera les communes de Haute Azergues, les 1er et 2 août, en compagnie de la photographe Chloé Litaudon. Immortalisé par l’objectif et « réalisé dans le plus grand respect des personnes », précise l’association, ce mini périple donnera lieu à une expo-contée, le 1er octobre 2016.

 


Cet évènement anthropoétique, baptisé Histoires de visages(s), se déroulera à 18 heures, dans le bien nommé restaurant « Au cœur du village ». Il donnera le coup d’envoi de la saison culturelle 2016-2017 qui s'annonce tout aussi intéressante.        NG.

La tournée : 1er août à Chenelette (9h), Poule-les-Echarmeaux (11h), Saint Bonnet le Troncy (15h30), Chambost-Allières (18h30);  2 aout à Saint-Nizier d’Azergues (9h), Claveisolles (11h), Lamure-sur-Azergues (15h30) et Grandris (18h30).


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lun.

27

juin

2016

Les services de proximité en danger ?

La Vallée d'Azergues a-t-elle vocation à devenir un musée vivant de la ruralité à l'intention de l'agglomération lyonnaise, doublé d'une vaste cité dortoir ? C'est la question que se posait Pascal Touchard, maire de Saint Bonnet le Troncy, lundi 20 juin, lors de la manifestation organisée ce jour-là par la Maison du Rhône (MDR) de Lamure-sur-Azergues. Comme d’autres un peu partout dans le Rhône, ce service de proximité, destiné à relayer les services du département sur le terrain, dans le domaine social,  de la protection de l’enfance, de la voirie ou de l’amélioration du cadre de vie, était en grève pour protester contre une réorganisation annonciatrice probable d’une fermeture prochaine.

 

Au total, outre les quinze salariés de Lamure-sur-Azergues, ce sont aussi les habitants des dix communes de l’ancien canton qui sont  concernés. « Début mai, lors de la réunion au cœur des cantons, à Tarare j'avais interpellé le président Guilloteau à ce sujet. Il m’avait été répondu que rien n’était décidé et que je serai parmi les premiers avertis. Or, des rumeurs évoquent maintenant la disparition de notre MDR et la création d’une MSAP (Maison de services au public) », détaille Bernard Rossier, maire de Lamure. Autrement dit un simple accompagnement des habitants par un employé de la Poste pour remplir des formulaires sur écran...

« Nous, nous voulons préserver la MDR, outil performant pour des prestations de qualités », insiste Bernard Rossier.

 

Les salariés, qui craignent une détérioration de leurs conditions de travail, sans réelle concertation, dénoncent aussi un risque d’éloignement des services pour les usagers, accentué notamment par la dégradation du service de transport, et un suivi plus administratif de leur situation. « Après la fermeture de la trésorerie, voici celle de la MDR. Bientôt, ce sera peut-être la gendarmerie, puis la Poste... Le processus de désertification est en marche », constate Pascal Touchard, dépité.                  Nadia Gorbatko.

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lun.

27

juin

2016

Rando : sou le soleil exactement...

Photo : JC Fact.
Photo : JC Fact.

Pratiquants assidus venus de l'agglomération lyonnaise ou de Villefranche, en majorité, touristes parisiens de passage ou marcheurs locaux : quelques 560 excursionnistes sont venus tester, dimanche 19 juin, l'un des cinq circuits de la randonnée du sou des écoles de Grandris.

Un peu moins que l'année dernière, pour cause de météo incertaine, mais suffisamment pour que les organisateurs soient satisfaits.

Très chaleureuse, cette traditionnelle manifestation aura mobilisé trois des enseignants de l'école, responsables d'un relais particulièrement venteux, et une quarantaine de parents. « Soit presque une famille sur deux... », soulignait-on au bureau.

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lun.

27

juin

2016

Danse : comment ça marche ?

photo : Emma Boissot.
photo : Emma Boissot.

Voir leurs enfants progresser pas à pas, lentement mais sûrement, en fonction de leur âge, c'est le grand plaisir, chaque printemps, des parents des petits danseurs de Haute Azergues : une soixantaine d'enfants - dont un garçon -, de 3 à 14 ans, répartis en six groupes sous la houlette de Laurence Paquis.

 

Un plaisir d'autant plus grand, cette année, que leur professeur avait choisi, en lieu et place du traditionnel spectacle, de proposer une présentation très pédagogique du travail de chaque classe, suivie de variations sur des thèmes classiques : Gisèle, Carmina Burana, la Bayadère... Chacun est désormais en mesure de se rendre compte de la difficulté de maitriser le saut de chat, le jeté, le dégagé et autre pas de bourrée.

 

Pour les plus motivés, les vacances ne sont pas pour autant d’actualité. Du 25 au 31 juillet, ils enchaineront avec un stage qui se concrétisera par une chorégraphie médiévale intégrée au spectacle « son et lumière » du château du Sablon, à Claveisolles, du jeudi 28 au dimanche 31 juillet (20h). Danse en Haute Azergues donne rendez-vous aux autres à la rentrée aux forums des associations : le 3 septembre à Grandris, le 17 à Lamure-sur-Azergues.

Courriel : danse.hauteazergues@laposte.net

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lun.

27

juin

2016

Au taquet pour les voitures anciennes

 

 

 

 

Valoriser l'auto rétro ?

C'est une activité

qui les transporte.

Pascal et Marie

ont lancé

le rendez-vous

des vieilles voiture,

à Chambost-Allières,

il y a six ans. Portrait.

Photo Emma Boissot
Photo Emma Boissot

A quatorze ans, Pascal Dubiez roulait en Solex. Débridé. A dix-huit ans, il pilotait une camionnette Deux Chevaux. A trente ans, il investissait dans sa première Facel Vega... Ce fana de brocante et de chine en tout genre, collectionneur quasi compulsif, a la mécanique chevillée au capot. Rien ne semble lui faire peur quand il s’agit de remettre sur roue une vétérante à bout de souffle. Au contraire. Lorsqu’il évoque ses trouvailles, leur réhabilitation, les balades faites en leur compagnie, ses yeux brillent comme ceux d’un enfant devant un jeu de Mécano. « Je n’ai jamais conduit une voiture neuve », assure-t-il.

 

On passerait des heures dans son  hangar à surprises, orné de calendriers Pirelli du meilleur cru, où les étagères ploient sous les bidons d’huile et autres outils mystérieux, où l’ancien bineur fabriqué à partir d’un moteur et d’un guidon de mobylette côtoie un soufflet de forge géant, où une voiture électrique Paris-Rhône de 1942 – il fallait bien pallier aux pénuries d’essence ! -  patiente à côté d’une armoire campagnarde. Quant à Marie, sa compagne, fille de garagiste, elle a vendu des pièces détachées pendant des années,à Saint-Marcellin. Elle n’a pas son pareil pour redonner vie aux intérieurs des véhicules. Aucun siège élimé ne résiste à ses doigts de fée. Alors, quand ces deux-là cherchent une idée pour faire carburer le comité des fêtes de Chambost-Allières, l’organisation d’un rendez-vous mensuel de vieilles voitures, chaque deuxième dimanche du mois, s’impose d’elle-même.

 

Les premiers se déroulent en 2010, avec dix à quinze véhicules. Aujourd’hui, on en compte trente à cinquante à chaque fois, de la Mustang à la R5, pilotés par des collectionneurs de tous les âges, des environs ou de plus loin « Les cotes évoluent en fonction des générations. On collectionne souvent les voitures de son enfance. Aujourd’hui, on voit plus de Honda, de Mazda, et moins de Simca… », remarque le couple. Pour ce rancart, sur le parking de la salle des fêtes de la commune, pas de réservation, pas de ticket d’entrée : il suffit d’avoir envie de venir. A la cool. Seule obligation : conduire un véhicule de plus de 30 ans. Pascal accueille les nouveaux venus, faciles à repérer puisqu’il connait tout le monde. Marie offre le café ou un petit verre à chacun : rosé l’été, vin chaud l’hiver…. Sans oublier les grattons à 11 heures. « Nous voulons que ce soit convivial, mélangé, régulier. Un peu comme autrefois, lorsque les hommes se retrouvaient au café pendant que leurs épouses allaient à la messe, le dimanche matin », explique Pascal.

 

Certains viennent pour admirer les modèles, d’autres pour trouver des pièces, un conseil, pour faire rouler leur voiture ou simplement pour le plaisir de boire un coup et de parler moteur, carrosserie et  allumage, jusqu’à plus soif. « Il suffit qu’un capot se lève pour les voir tous se précipiter autour », s’amuse Marie. « Pas de doute, ce sont des passionnés. » Des passionnés qui animent le village et servent largement de courroie de transmission à sa renommée. De 9h à 12h. Renseignements : chambostauto@gmail.com ou 06 23 77 49 81. Nadia Gorbatko.

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lun.

27

juin

2016

Carrière Vicat : un pas vers la sortie ?

Après un débat contradictoire entre représentants de la société Vicat et l'association de défense du Beaujolais vert, les habitants de Chambost-Allières ont rejeté par référendum le projet de carrière dans la forêt de Pully.

Les efforts déployés par la société Vicat n’auront pas suffit à persuader la population de Chambost-Allières d’accepter l’ouverture d’une carrière sur le site de Pully. Invités à se prononcer sur le sujet, à l’issue d’une réunion publique proposée par la mairie, vendredi 20 mai, les habitants ont voté contre à 87%. Le débat, organisé sous l’égide d’un médiateur et du maire, Philippe Bonnet, avec trois représentants du groupe Vicat et trois membres de l’Association de Défense et de développement du Beaujolais vert et du Val d’Azergues (ADD-BV-VA), avait été orchestré dans les formes : présentation du projet par Vicat, questions du public, observations d’ADD-BV-VA, questions du public, débat. Le tout dans le respect des opinions de chacun et du temps de parole de deux parties. « Propriétaire du terrain, le département a demandé aux commune directement concernées, Saint Just d’Avray, Chamelet et Chambost-Allières, de se prononcer. Notre conseil municipal a donc décidé d’organiser ce moment de présentation et d‘échanges », a expliqué Philippe Bonnet, en préambule, avant de préciser que l’avis émis par les habitants, puis par la commune, serait purement consultatif.

Engagements
Premier à s’exprimer, l’exploitant de carrière s’est appliqué à présenter ses objectifs – une production annuelle de 500 000 tonnes de granulats sur une trentaine d’hectares, pendant 30 ans –, les atouts du site de Pully et ses engagements pour réaliser un projet « exemplaire, vertueux et concerté ». Parmi les arguments avancés : l’éloignement des habitations, la création de 12 emplois directs et d’une trentaine indirects, via les sous-traitant, ou la préservation des chemins piétonniers ; mais aussi la limitation des nuisances par la récupération des poussières, l’arrosage des pistes, le bâchage des camions ou la mise en place d’un tapis roulant couvert, pour acheminer le matériau jusqu’à une plateforme de chargement multimodale. L’exploitant envisagerait aussi de transporter la moitié des granulats par le rail, via quatre trains hebdomadaires. Le reste transiterait par la route, à raison, selon Vicat, d'un camion par jour vers Amplepuis, de trois par heure vers Lamure-sur-Azergues/Villefranche et de quatre par heure vers Lyon.

Contre-arguments
ADD-BV-VA a pour sa part insisté sur l’impact de l’exploitation sur le cadre de vie des habitants et sur leur quotidien : circulation importante, vibrations, pollution de la rivière, particules fines, décote du patrimoine, ralentissement du développement économique… Avec une création d’emploi largement insuffisante au regard des emplois condamnés. L’exposition des lieux aux vents dominants, favorables à la transmission des bruits ou de la poussière, a également été évoquée, ainsi que le relief, très pentu, peu favorable à une exploitation « en dent creuse », plus discrète,  et une destruction possible des écosystèmes de la rivière, asphyxiés par les particules fines. La question du transport par rail, peu crédible aujourd’hui étant donné l’état de la ligne Paray-le-Monial-Lyon, la multiplication des camions sur les routes et ses conséquences sur la voirie notamment ont suscité de nombreuses questions dans la salle, ainsi que le risque de dévaluation de l’immobilier, les éventuels problèmes respiratoires ou encore l’emplacement de la plateforme multimodale .

Conclusion sans appel
Manifestement, les réponses de la société Vicat n’ont pas convaincu. Les représentants de l'entreprise ont pris acte du résultat de cette consultation qui s’ajoute au rejet du projet par le conseil municipal de Chamelet, le 2 mars dernier, et à celui des 34 villages de la communauté de communes des Pierres dorées. Le conseil municipal de Saint Just d’Avray devrait se décider avant l’été. « Même si la salle était acquise à l’association ADD-BV-VA, nous avons pu présenter nos intentions, ce qui n’était encore jamais arrivé. Nous avons montré que nous n’avancions pas en terrain conquis. C’est un point positif », estiment-ils. « Nous attendons maintenant la délibération de la commune. Quand à la position finale du département, elle relève de leur entière liberté. » Philippe Bonnet, de son côté, se réjouit du succès de cet exercice, nouveau, de démocratie participative : « Les habitants de tous les âges ont fait l’effort de venir. Ils se sont exprimés. Nous respecteront leur avis et travaillerons désormais à d’autres projets. »

Nadia Gorbatko.

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jeu.

02

juin

2016

Quelle histoire, ma parole !

La Compagnie Sueño en la Fábrica présente Filaments, un spectacle musical et multimédia sur la mémoire de l'industrie textile.

 

Qu’est-ce que le patrimoine ? A quoi sert-il ? Au printemps 2015, les élèves de CM1/CM2 de l’école publique de Grandris avaient été interrogés sur ce thème par la Compagnie Sueño en la Fábrica, chargée par la Communauté de Communes de l'Ouest Rhodanien (COR) de réaliser un travail artistique autour de la mémoire de l'industrie textile.

 

 

Afin de mener à bien ce projet, la compagnie a aussi recueilli la parole des habitants du territoire, anciens ouvriers des usines de tissage, pour la plupart. Elle a récolté des objets, du matériel destiné au rebut, et réalisé des petits films…

 

Toutes ces traces du passé, magnifiées par leur regard et leurs oreilles d’artistes, ont abouti à la création d’un spectacle musical et multimédia : « Filaments ». Sur scène, dans une ambiance d’atelier : des instruments étranges en matériel de récupération (vieux tuyaux, engrenage…), quatre artistes à la guitare électrique, au clavier, à la batterie ou au tuba, trois écrans évoquant de manière poétique l’univers du textile et les voix des « témoins », enfants et adultes. Un hommage touchant au textile et au plaisir du travail bien fait. A voir à la Maison de l’Europe de Cublize, le vendredi 10 juin.

 

Quand ? Le vendredi 10 juin à 20h30.

Où ? A la Maison de l'Europe de Cublize.
Réservation ? Conseillée, de 9h à 16h, au 04 74 05 50 90.
Quel public ? Tout public, dès 10 ans.
Tarifs de 5 à 8 €.

Plus d'info : http://retissonsleterritoire.fr/filaments


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mar.

31

mai

2016

Elle nous fait marcher depuis vingt ans

 

 

 

 

Et ce n'est pas fini !

Dimanche 19 juin,

place à la XXIe édition

de la randonnée buissonnière

du Sou des école.

Ils viennent de Lyon, du Rhône, de l’Ain ou de Saône-et-Loire. Certains sont des sportifs accomplis, d'autres des dilettantes. Et ça fait vingt ans que le Sou des écoles de Grandris continue de les fait marcher ! Sur ses cinq circuits de 5, 10, 15, 20 et 30 km, sa randonnée buissonnière réunit chaque année 700 à 800 promeneurs. Le tout dans une ambiance bon enfant, en dépit de la forte implication des parents d’élève.

 

« Une cinquantaine d’entre eux se mobilisent toute la journée, pour enregistrer les inscriptions, assurer le ravitaillement sur les relais, tous les six kilomètres, accueillir les marcheurs en salle ou distribuer les repas à l'arrivée », expliquent les membres actifs de l'association. « Pour nous, c'est le plus gros événement de l'année. » La XXIe édition se déroule dimanche 19 juin. En 2015, les parcours ont été renouvelés. IIs sont donc encore quasiment neufs…

 

Tarifs : de 5€ pour le circuit 5 km à 9 € celui des 30 km. Inscription à partir de 6h30 à la salle polyvalente. Contact : soudesecolesgrandris@gmail.com ou 06 77 25 16 05 ou 09 53 39 45 39. Facebook : Sou des écoles publiques de Grandris.


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mer.

25

mai

2016

C'est Bibi qui le dit



Le 3 juin, à la librairie Compagnon, Bibi Konspire, deux musiciens munis de guitares et d'objets amplifiés autour du poète Charles Pennequin.

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mer.

25

mai

2016

Festival à Longeval

C'EST REPARTI pour les beaux jours de Longeval, installés pour cette fois à la salle des fêtes de Saint Just d'Avray. Avec, du 3 au 5 juin, de la musique (dont une version inédite de la célèbre Histoire du Soldat d'Igor Stravinsky avec le comédien Michel de Maulnes), du théâtre, une lecture (autour de Catherine Zambon), un concert en famille (trio Les Tromano).

Le concert d'ouverture "Paradis Latin" est dédié à la mandoline, avec le virtuose Julien Martineau. Le festival se clôturera par un concert de cuivres d'Alexandre Baty et Matthieu Romand, trompette solo et cor solo de l'Orchestre Philharmonique de Radio France, accompagnés de la pianiste Véronique Goudin. Infos  : www.longeval.org/

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lun.

23

mai

2016

Grandris s'active

Si Grandris évite de quelques lacets le va-et-vient de la D385, le village n'a pas pour autant renoncé à développer son économie. Dans ses ateliers, ses usines, ses magasins ou ses hameaux souffle un petit vent de nouveauté.

Grandris, un village dortoir ? Bien au contraire ! Derrière les façades tranquilles de la commune, TPE et indépendants, néo ruraux comme enfants du pays, s’activent en toute discrétion, dans de multiples domaines : design, bijoux, sites Internet, architecture, communication, édition jeunesse, vente de pièces détachées pour moto… Le village, qui compte une bonne demi-douzaine d'artistes, six exploitants agricoles, sept gîtes et une quinzaine d’artisans, accueille par ailleurs deux PME d’une dizaine de collaborateurs chacun : Sare, spécialiste du Repoussage et de l'emboutissage, et JFilm, fabricants de seaux, bâches et films plastique. « Sans oublier les professionnels de santé, les commerces et l’hôpital, premier employeur du territoire de Haute Vallée d’Azergues avec ses 150 salariés », souligne Jean-Pierre Goudard, maire de la commune.

 

Des attentes et des projets

Afin de permettre à ces professionnels de mieux faire connaissance et d’exprimer leurs préoccupations, ce dernier avait organisé une réunion, vendredi 8 avril dernier. « Nous avons quand même envoyé 60 courriers ! Et certains indépendants ne sont sans doute pas encore recensés… » Ce soir-là, salle de l’Odyssée, une vingtaine d'indépendants, de commerçants et d'agriculteurs étaient présents, aussi surpris  qu’heureux de découvrir tant d’esprit entrepreneurial insoupçonné dans leur voisinage. Après une courte présentation individuelle – excellente opportunité d’en savoir plus sur les projets de chacun, comme le développement d‘énergie renouvelable chez certains agriculteurs –,  les débats ont porté sur des sujets concrets : difficulté à trouver des locaux disponibles, accès au haut débit, signalétique, projets de dynamisation du centre-bourg ou agrandissement du supermarché de la Folletière.

 

Des réseaux en appui

Vice-président du club Azergues Entreprendre, Patrick Imbert a profité de l’occasion pour présenter son association tandis que Jean-Pierre Goudard annonçait l’ouverture prochaine de l’espace de travail partagé de Lamure-sur-Azergue sous l’égide du réseau La Cordée, avec l’appui de la COR (Communauté d’Agglomération de l’Ouest Rhodanien). Une première prise de contact utile qui en suscitera certainement d‘autres. Sans bruit, Grandris n’a pas fini de tisser son avenir dans ses anciens ateliers de confection reconvertis ou, plus loin, dans ses hameaux.

Nadia Gorbatko.

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lun.

23

mai

2016

La conscience du gendarme Martin

Maquis contre milice : fin 1943, la bataille est engagée en Haute Vallée d’Azergues, du côté de Saint Bonnet le Troncy et Saint Nizier, notamment. A la caserne de Lamure-sur-Azergues, le 10 décembre, le gendarme Arthur Martin apprend qu’une opération se prépare pour capturer les résistants cantonnés à proximité. Il prévient aussitôt ces derniers qui échappent au coup de filet. En guise de représailles, Arthur Martin est emprisonné puis déporté aux camps de Buchenwald et de Flossenburg. C’est là qu’il décèdera, en mai 1945, épuisé, probablement achevé par un nazi.

 

Hommage

Samedi 7 mai dernier, la caserne de Lamure rendait hommage au héros en prenant officiellement le nom de caserne « gendarme Martin ». Lever de drapeau, décoration, félicitations, dévoilement de la plaque… Très solennelle, la cérémonie s’est déroulée en présence d’anciens résistants et de nombreux élus, dont Bernard Rossier, maire de la commune, sous la houlette du Colonel Didier Wioland. Avec une belle unanimité, chacun a célébré la bravoure exemplaire et la liberté de conscience d’Arthur Martin, soulignant la reconnaissance qui lui est due pour avoir ainsi "mis en péril sa vie, afin de servir son idéal. "

 

Souvenir

Des mots qui résonnent avec force, aujourd’hui… Mais l’intervention la plus émouvante aura certainement été celle de Jean-Jacques Martin, petit-fils du héros disparu, qui attendait ce moment "depuis longtemps" mais n’oublie pas pour autant les autres victimes, plus actuelles, des conflits de ce monde… En fin de matinée, les habitants de la commune étaient invités à la projection d'un documentaire sur la résistance en Haute Azergues. N.G.

(Photo : Jean-Philippe Régnat).

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dim.

22

mai

2016

Vicat : fin de carrière...

 

 

Vendredi 20 mai, le maire de Chambost-Allières, avait invité les habitants

à se prononcer sur le projet de carrière Vicat en forêt de Pully. Après avoir écouté

les arguments de la société et ceux, opposés, de l'association ADD BV VA, les citoyens

ont voté "contre" à 87%.


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dim.

22

mai

2016

La main dans le sac

C'est sympa,

c'est utile,

c'est ouvert à tous, c'est une exclusivité La Ruche. Et surtout C'EST SAMEDI PROCHAIN !

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mer.

11

mai

2016

Balade musicale entre les gouttes

Mille ! Les inscriptions étaient closes et il y avait même une liste d'attente. Le dimanche 1er Mai 2016, la 5ème Balade Musicale, basée dans la légendaire cité de Clochemerle, aussi appelée Vaux-en-Beaujolais, a été obligée de mettre de l'eau dans son vin. Quelque 382 courageux se sont déplacés et un bon nombre a fait les 10 kilomètres de la randonnée, malgré la pluie et le froid. Les musiciens ont donné une représentation de soutien dans la salle des fêtes transformée en forêt. Les sourires étaient sur tous les visages et tout le monde parlait déjà de la 6ème édition. Un grand bravo à l'équipe de bénévoles et à tous les artistes .

JC.Fact.

 

 

Web : http://www.labalademusicale.com/tag/balade%202016/

 

 

 

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jeu.

14

avril

2016

Les belles pousses d'HVA Culture

HVA Culture tenait son assemblée générale le 30 mars dernier. L'occasion de revenir sur ses dernière innovations et de présenter ses projets.

Proposer des spectacles et des manifestations de qualité, plus variés, pour tous les goûts et tous les âges : tel est, depuis un an, le nouveau credo de l’équipe d’HVA Culture (Haute Vallée d’Azergues Culture). Le message a été reçu cinq sur cinq par les habitants.  « Les spectacles de mine, de clowns ou autour de la peintre Frida Kahlo ont été appréciés ; la fanfare Aksäk Fanfär a mis le feu à la salle des fêtes de Claveisolles, pendant le repas-concert slave d’octobre et les parents ont répondu présents, lors du premier goûter-spectacle organisé à Lamure-sur-Azergues, en janvier ; la fréquentation du cinéma est en nette hausse avec un millier de spectateurs enregistrés sur 11 séances… », constataient avec satisfaction les responsables de l’association, réunis en assemblée générale, mercredi 30 mars dernier, à l’Odyssée de Grandris. Quant aux ateliers hebdomadaires d’écriture, de couture ou de calligraphie, ils fonctionnent très bien aussi, avec une demi-douzaine de participants pour chacun.

Des moyens à la hauteur
Désormais assurée d’une contribution financière de près de 17 000 euros de la COR (Communauté de Commune de l’Ouest Rhodanien), via les huit     >

communes de Haute Azergues concernées*, sur un budget total de quelque 37 000 euros, HVA Culture travaille désormais à son nouveau programme, avec la volonté de tirer parti de « la belle salle de spectacle de Chambost-Allières », mais aussi de valoriser les autres communes, notamment celles du nord, un peu moins touchées par les manifestations ces derniers mois. Parmi les projets : un nouveau dîner concert, plus rock. Prochains rendez-vous : deux séances de cinéma le 29 avril (Pattaya à 18 heures et Eperdument à 20 heures), un vide-jardin de printemps, dans la cour du musée de Saint-Bonnet-Le-Troncy, le  30 avril de 14 à 17 heures. Un nouveau bureau a été élu lors de cette assemblée générale : l’ancien président, Jacques Zer, laisse sa place à Marine Chalayer. Marie Chambard assumera le secrétariat, avec l’aide de Thérèse Potocki et Patricia Chalayer la trésorerie, soutenue par Françoise Bibos. « Mais HVA Culture est largement ouverte à chacun. Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues », rappelle l’équipe.

* Grandris, Lamure-sur-Azergues, Saint Bonnet Le Troncy, Poule-les-Echarmeaux, Chambost-Allières,  Claveisolles, Saint Nizier et Chénelette.


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jeu.

14

avril

2016

SOU des écoles : à fleurs de pot

Plantes aromatiques, légumes, fleurs en pots et en suspensions : le Sou des écoles publiques de Grandris organise une vente de plançons de printemps, samedi 30 avril, place des Platanes, de 8h à 18h.

Prix compétitifs et accueil chaleureux.

Renseignements : 06 77 25 16 05 et soudesecolesgrandris@gmail.com

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jeu.

14

avril

2016

Gestes verts : passe ton bac d'abord !

Comment alléger d'un tiers le poids de sa poubelle -  au moins -, se créer son propre terreau et faire en même temps un geste pour l'environnement ?

 

En recyclant épluchures, sachets de thé ou fleurs fanées dans un bac à compost. Le 9 avril dernier, à la déchetterie de Saint Nizier d'Azergues,

dix-huit équipements de ce type ont été remis aux habitants qui en avaient fait la demande, sous l'égide de la COR (Communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien). Au total, 80 bacs auront été distribués sur le territoire communautaire, ce matin-là, pour le prix modique de 20 euros (300 L). Une nouvelle campagne de distribution est prévue à l'automne prochain.


Renseignements : 04 74 89 58 39 ou ouestrhodanien.fr/compostage.html

 

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lun.

28

mars

2016

Itinéraire d'une femme exceptionnelle

"J’ai lutté pour la cause de la justice et le bonheur des humbles", écrivait Louise Michel (1830-1905) dans son journal. Déportée, emprisonnée et menacée, cette figure majeure de la Commune de Paris, institutrice, féministe, anarchiste, et franc-maçonne, est l'héroïne d'un spectacle conçu et monté par Régine Dugua et la Compagnie “La Cerise sur le Gâteau”, le 1er et 2 avril 2015 à Villefranche-sur-Saône

 

 

 

 

 

 

Avec des situations extraites de ses souvenirs et d’autres documents historiques, des chants révolutionnaires du siècle dernier et plus contemporains, deux acteurs retracent le parcours de cette femme exceptionnelle.

 

Quand ? Les 1er et 2avril à 2àh30

Où ? Théâtre Pêle-Mêle, 171 rue Jean-Michel Savigny, 69400 Villefranche-sur-Saône.

Réservation : 04 74 07 16 19 ou sur info@theatrepelemele.fr

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dim.

27

mars

2016

Un Sou est un SOU

Allez, on fait le vide ! Ou le plein. C'est selon. Dimanche 3 avril, le Sou des écoles de Grandris organise son traditionnel vide-grenier de printemps, de 8h à 18h, place des platanes. L'entrée est gratuite. Une buvette complétée d'une petite restauration est prévue sur place, ainsi qu'une animation orgue de barbarie.

Pour les exposants, le prix du mètre linéaire est de 3€. L'installation débute à 6h du matin. Il est encore temps de réserver son linéaire (ou sa journée) : 06 77 25 16 05 ou 09 53 39 45 39. Courriel : soudesecolesgrandris@gmail.com.

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lun.

14

mars

2016

Poésie : si le coeur vous en dit

 

 

 

Période de grands bouleversements, le XXe siècle aura aussi été une période extraordinairement riche pour la poésie. L'édition 2016 du Printemps des poètes rend hommage à cette grande diversité. Sa déclinaison azerguoise, le 19 mars 2015, n'est pas en reste...

De Guillaume Apollinaire à Aimé Césaire, de Paul Eluard à Jacques Prévert, Andrée Chedid, Robert Desnos ou Raymond Queneau, le XXe siècle aura représenté une période majeure de l’histoire de la poésie : foisonnante, parfois subversive, souvent facétieuse... C’est cette richesse que célèbre cette année le Printemps des poètes, déclinée avec tout autant d’originalité en Haute Vallée d’Azergues. Organisée en collaboration entre HVA Culture, l’école de musique Diapazergues, l’association Douceur de vivre et l'hôpital de Grandris, dans les locaux de l’établissement gériatrique et en présence des résidents, l’édition 2016 multiplie en effet les sources d’inspiration, les acteurs et les publics. Au programme : lectures, parenthèses musicales et exposition.

 

On vous offre un vers ?
En toute convivialité, chacun est invité à écouter ou à venir déclamer  - et même mettre en scène si le cœur lui en dit - ses morceaux favoris. Poètes célèbres, moins connus, locaux, pas encore publiés, versificateur d’un jour… Peu importe la carte de visite, pourvu que le charme opère. Les timides peuvent aussi participer en envoyant un poème sous enveloppe "art postal" (décorée à son idée). Une exposition rendra honneur aux plus beaux spécimens. L’enveloppe timbrée doit être adressée à : Association douceur de vivre, Hôpital de la haute Azergues, 69870 Grandris. Quand ? : la 19 mars 2015, de 10h à 13h. Où ? Hôpital de Grandris, salle des festivités. Entrée libre.

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mar.

16

févr.

2016

Parents : des soirées sans les enfants

Permettre aux parents de sortir une fois par mois en toute tranquillité et aux enfants de profiter d'une soirée sympa, tel est le principe de l’accueil collectif en soirée, mis en place par Vivre en Haut Beaujolais. Le prochain, sur inscription, est prévu le 4 mars.

Pas toujours facile de faire garder ses enfants, le soir, pour une sortie entre adultes ! D’où l’idée de deux mamans, Florence Demingeon, habitante de Poule-les-Echarmeaux et Stéphanie Thomas de Saint Nizier d’Azergues, de créer un accueil collectif en soirée, sous la houlette de professionnels. Intitulé Parents, vous avez envie de sortir ? et appuyé par le centre social Vivre en Haut Beaujolais (VHB), le projet est né il y a quatre mois, à titre expérimental. Un test concluant, estime  Stéphanie Thomas : « en moyenne, neuf enfants ont été pris en charge, à la halte-garderie de Claveisolles, chaque dernier vendredi par mois, à partir de 18 heures. »
Après une pause ce mois de février, pour cause de vacances, le service reprend donc le 4 mars prochain, dans de nouveaux locaux, à Lamure-sur-Azergues. « La mairie a mis un appartement à notre disposition, au-dessus de l’école, plus la salle du club de judo. De quoi faire dormir tranquillement les plus petits, tout en permettant aux grands de s’amuser. » >


Gérée par des salariés de VHB, la soirée sera en effet rythmée par différents temps fort entre 18 et 23 heures : repas partagé (fourni par les parents), animations adaptées à l’âge des enfants, couchage des plus petits (selon les souhaits des familles). La garde coûte de 2€ à 10€ en fonction du quotient familial, plus la cotisation éventuelle à VHB. Une inscription à l’avance est nécessaire et les places sont limitées à 12 enfants.
« Si tout va bien, ce service sera proposé deux fois par mois », précise Stéphanie Thomas. « Par ailleurs, il peut encore évoluer en fonction de l’investissement des parents dans la démarche. En tout cas, beaucoup ont envie de profiter des activités et des initiatives culturelles développées sur le territoire ! » Prochaines dates : 4 mars (inscriptions du 15 février au 24 février), 25 mars, 29 avril, 27 mai, 24 juin. En complément, VHB prévoit aussi de créer un site Internet de mise en relation entre parents et baby-sitters, mais il est encore en cours de développement. NG.


 Renseignements : VHB au 04 74 04 73 87. Internet : www.centresocialvhb.fr

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mar.

02

févr.

2016

Apprenez à dire jeux

Marre du quotidien ? Des interminables parties de Monopoly ? Les soirée jeux de la Ruche sont pour vous.

 

Chaque premier vendredi de chaque mois, l'association vous donne désormais rendez-vous dans son local pour vous faire découvrir de nouveaux jeux. Ces réunions ludiques sont réservés aux adultes, des après-midis jeux pour les enfants seront proposés ultérieurement. Les plus grands, à partir du CM1/CM2 sont toutefois acceptés, s'ils sont sages.

La première soirée de ce type a lieu ce vendredi 5 février. Au menu : de la poésie avec Dixit, un jeu magnifiquement illustré, qui fait appel à l'imagination et à l'intuition ; du bluff avec Perudo (quand la capacité à mentir est bien plus nécessaire que la chance !) ; de la gestion avec Carcassone, un classique du jeu de société actuel ; de la programmation avec Les aventuriers du rail, pour parcourir l'Europe des années 1900 ; de la réflexion avec Blokus, jeu abstrait de pose de pièces. Et bien d'autres encore…

 

Quand ?  A partir de 19h.

Où ? 118 rue Grange Bourdon.

Faut-il être adhérent ? Il est possible de tester le concept une première fois, ensuite, oui.

En savoir plus : http://laruchebourdon.jimdo.com/

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mar.

02

févr.

2016

Sur quel état gère ?

HVA culture s'aventure sur la planète clown avec un duo un peu barré...

Imaginons que l’homme envoie ses déchets dans l’espace, faute de place sur terre. Imaginons que deux personnages en quête d’abris et de nourriture se laissent enfermer dans ces grosses caisses pleines de détritus satellisées autour de notre planète...
C'est le point de départ choisi par Hugues Fellot (un ancien du cirque Plume) pour créer "B615", un numéro de clowns poétique, librement inspiré du «Petit Prince» d’Antoine De Saint-Exupéry et d’«Architruc» de Robert Pinget. Un spectacle tout public, interprété par Serge Sang et Stéphane Vrain.
Quand ? Le 6 février, 20h30.
Où ? A la salle de spectacle de Chambost-Allières.
Renseignements : HVA Culture : 04 37 55 03 89 (http://hvaculture.jimdo.com/).
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dim.

17

janv.

2016

l'Admirable émir

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dim.

17

janv.

2016

Au programme du Chapelard

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ven.

13

nov.

2015

Ticket pour la culture

Nichée dans une maison de village, à Lamure-sur-Azergues,une petite librairie vient d'ouvrir en centre-bourg. Un espace délicieux où il fait bon s'arrêter pour savourer un bol de culture.

Passer devant la petite vitrine de la rue centrale de Lamure, franchir le portail, traverser  une jolie petite terrasse et ouvrir enfin la porte de la librairie, c’est s’offrir un ticket pour un bien agréable voyage dans l’univers de Jennifer et Arnaud Geoffroy. Gestionnaire de produit chez Sanofi et chargée de programmation dans un musée lyonnais, l’un et l’autre ont des vies professionnelles bien remplies. Pourtant, fous de livres tous les deux – polars, littérature, science-fiction, édition jeunesse, beaux-livres… –, ils rêvaient depuis longtemps d’ouvrir leur propre librairie. Pas n’importe laquelle cependant : « Nous avions envie d’un lieu qui rassemble nos passions, d'un endroit convivial, vivant, atypique, où les gens apprécient de passer du temps », explique Jennifer. Il leur aura fallu près de deux ans pour faire aboutir leur projet, mais il est réussi.

Une parenthèse dans l'espace-temps
Au rez-de-chaussée de leur maison, dans une ambiance cosy de salon de thé, rayonnages et tables de présentation accueillent 1 000 à 1500 livres, jeunesse d’un côté, adultes de l’autre. « Des ouvrages qui reflètent nos coups de cœur, nos rencontres artistiques ou personnelles. Qui font aussi la part belle aux petites maisons d’éditions et aux auteurs locaux. Nous aimerions être des passeurs », détaille Jennifer. Dédicaces, conférences, dégustations… Des animations auront par ailleurs lieu, une fois par mois, dans la boutique. Le couple espère aussi nouer des partenariats avec les bibliothèques et les associations locales. « Nous souhaiterions valoriser les compétences du territoire. Il y a un côté militant dans notre démarche », souligne-t-il.  Quand la soif tout court succède à la soif de lecture, il est également possible d’y siroter une limonade, un jus de fruit, un thé, bio, équitable ou local, bien sûr, dans des tasses made in Sainte-Paule, tout en grignotant une mini-pâtisserie. Leur commerce a été inauguré le 24 novembre. Désormais, il ouvrira tous les week-ends, de 9 heures à 12h30 et de 14h à 20h. Son nom ? Il était tout trouvé : Voyageurs immobiles.

En savoir plus : http://voyageursimmobiles.fr/

 

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jeu.

12

nov.

2015

Sare : un moral d'acier

Installée à Grandris depuis 1989, la société Sare produit des milliers de pièces de métal, en sous-traitance, pour de nombreux secteurs industriels. Une entreprise aussi dynamique que discrète.

Pour l’aéronautique, le secteur médical, l’éclairage industriel ou le mobilier urbain, à destination de la France entière, mais aussi pour l’export, vers le Mexique notamment… Des milliers de pièces différentes sortent chaque année de locaux de l’entreprise Sare, à Grandris. Totalisant huit salariés, la société, discrètement fondue dans la verdure Azerguoise, est spécialisée dans le repoussage (déformation du métal à froid), à la main, de façon traditionnelle, ou en commande numérique, l’emboutissage et le découpage du métal, quel qu’il soit : acier, cuivre, aluminium, laiton, inox….

Un savoir-faire spécifique
Sa force : maîtriser chacune de ces techniques pour proposer à ses clients celle qui conviendra le mieux à son produit. Affichant un chiffre d’affaire de 1,2M€ en 2014-2015, elle travaille essentiellement sur des petites et moyennes séries. Un savoir-faire très spécifique et très recherché par ses quelque 250 clients : « Nous sommes peu présents sur les salons. Notre réputation s’établit surtout par le bouche-à-oreilles. En effet, nous sommes peu nombreux sur créneau alors que le marché est important », remarque Muriel Vigne, codirigeante de l’entreprise, avec son frère, Gilles Bayle. Des compétences recherchée mais qui se font aussi de plus en plus rares, obligeant l’entreprise à former elle-même ses salariés, huit aujourd’hui, recrutés dans les villages alentour. « Aucune école n’apprend plus ces techniques, nous ne pouvons
donc pas embaucher d’apprentis », explique Gilles Bayle.

 

Une tradition familiale

Lorsqu’en 1989, une partie de la fratrie reprend l’entreprise familiale, alors située à Lamure-sur-Azergues, la question ne se pose pas vraiment : les uns et les autres ont tout appris de leurs parents. Ce qui ne les empêche nullement de continuer à innover : par l’achat de deux machines à commande numérique, à partir de 2008, notamment, leur permettant de pallier au manque de personnel et de réaliser des pièces plus complexes. « Sachant que pour programmer la machine, il faut connaître le matériaux et la technique sur le bout des doigts », précise Muriel Vigne.

Des développements permanents
Afin d’aider ses clients à améliorer les performances de ses produits, Sare propose d’ailleurs beaucoup de développement, en complément de ses services. Un profil atypique qui a attiré l’attention de la CCI de Lyon. Accompagné d’une petite délégation, son président, Emmanuel Imberton, est venu visiter les lieux, le 23 septembre dernier. « Au cœur du Beaujolais vert, on trouve des industries dynamiques. Dans ces territoires ruraux, on découvre de magnifiques expériences comme celle-ci. Elles montrent la complémentarité entre la métropole et ses alentours », souligne-t-il. Un point de vue partagé par Muriel Vigne qui ne changerait d’environnement pour rien au monde : « Ici, la qualité de vie est bien meilleur, dit-elle. Et nos conditions de travail aussi ! »

Nadia Gorbatko

jeu.

05

nov.

2015

Danse avec les stars (de Grandris)

Devant le succès rencontré par son premier bal folk, l’année dernière, à la demande des familles, mais aussi des musiciens présents en 2014, le Sou des écoles de Grandris récidive. L'association de parents d'élèves organise une nouvelle soirée « danse », samedi 28 novembre 2015, avec une petite restauration sur place. Le sympathique groupe lyonnais Cho7 animera à nouveau ce bal folk. Prêts pour la jig, la scottish ou la bourrée auvergnate ?,
Quand ? 28 novembre de 20h30 à 23h30.
Où ? Salle polyvalente.
A quel prix ? 5 €. Gratuit pour les - de 12 ans.


En savoir plus sur Cho7 ? http://dansezchaudssets.free.fr/wp

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mer.

21

oct.

2015

Drôle de baz'art à Grandris

Bénédicte Montoy signe d'expressives sculptures autour du "système".
Bénédicte Montoy signe d'expressives sculptures autour du "système".


Une vingtaine d'artistes,

tous très différents,

une dizaine de lieux,

et d'innombrables visiteurs...

Dans une ambiance aussi détendue

qu'ensoleillée, la saison 4

de "C'est quoi ce baz'art ?"

a tenu toutes ses promesses. Vivement la 5e édition.

L’année dernière, déjà, le week-end ateliers portes ouvertes proposé par le collectif d’artistes « C’est quoi ce baz’art » avait drainé quelque 250 visiteurs à Grandris. Samedi 10 et dimanche 11 octobre, l’affluence était-elle que les organisateurs ont purement et simplement renoncé à tenir les comptes… Durant deux jours, animant les rues du village d’une joyeuse effervescence, badauds et amateurs éclairés ont pu découvrir les œuvres de 18 artistes et créatifs. De Grandris, bien sûr – et ils commencent à y être nombreux… –, mais aussi de Lamure-sur-Azergues, comme la dessinatrice Olga Ilic, de Marchampt comme la peintre Alesque, de Saint-Igny de Roche comme la potière-graveuse Sylvie Deverchère, de Nîmes comme la céramiste Elisabeth Bovet ou encore de Mulhouse, comme la plasticienne Anne Rauscher.


Des échanges et des rencontres

Venus d’horizons artistiques très différents, tous ont apprécié les échanges avec un public curieux et ouvert. Emaillée de belles rencontres, cette 4e édition de la manifestation aura aussi été marquée par plusieurs « premières » festives ou émouvantes : l’inauguration de l’atelier-boutique de Marine Chalayer (Les Marineries, rue de la Grande Serve), la présentation du dernier livre-jeunesse de Frédéric Magnan (Je suis un tigre, éditions Un chat la nuit), tout juste sorti des presses, l’ouverture de l’ancienne caserne au public, le lancement officielle de la nouvelle association ludico-culturelle La Ruche (rue Grange Bourdon) qui tenait buvette pour l’occasion…

N.G.

La preuve par l'image

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mer.

14

oct.

2015

Impossible n'est pas moto

C’est baignée d'un grand ciel bleu et sous les yeux de quelques 1500 passionnés de moto que s’est déroulée, dimanche 4 octobre, la vingtième édition de la Montée impossible de Lamure-sur-Azergues, dernière étape du Trophée des 4 Massifs 2015. Sur la piste, 47 pilotes, dont trois Suisses, ont offert un magnifique spectacle aux visiteurs, tandis que le légendaire motard Louis Gay Perret, dit "le ptit Louis", assurait le show à la buvette. Les habitués ont regretté l’absence d'Albert Dessaigne, fondateur du club de la Croix Borsat, organisateur de la course, pour raisons personnelles, mais une centaine de bénévoles était présente pour veiller au bon déroulement de la manifestation.

A la première place du classement pour un sommet de 192 mètres : Julien Perrin (moto club la Bressaude) en 20,26 secondes, également premier du Trophée des 4 Massifs 2015 avec 146 points, suivi de Vincent Mougenot (moto club la Bressaude), en 21,28 secondes, puis de Hugo Guilmard (moto club Rueyre), en 22,66 secondes. Pilote du club de la Croix Borsat, Daniel Chamorro termine à la 7e place avec 24,41 secondes. La première place féminine revient à Camille Dambax (Adcm) pour un sommet de 184,16 mètres, la seconde à Laura Pascolini (moto club la Bressaude) à 176,93 mètres, première du Trophée des 4 Massifs 2015, et la troisième à Chloé Leduc (moto club la Bressaude) à 163,50 mètres. NG.

Photos ; JC Fact.

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jeu.

08

oct.

2015

MFR : un projet éducatif modèle

En visite à la Maison familiale rurale de Lamure-sur-Azergues, le 23 septembre dernier, une délégation de la CCI de Lyon est repartie conquise par son projet éducatif modèle.

« Un modèle d’excellence, une voie à suivre au moment où le pays semble en panne d’idée ». Tel aura été le commentaire enthousiaste d’Emmanuel Imberton, Président de la Chambre de commerce et d’industrie de Lyon (CCI), après sa visite à la Maison Familiale Rurale (MFR) de Lamure-sur-Azergues, le 23 septembre dernier, en compagnie, notamment, de Nathalie Pradines, vice-présidente de la CCI, de membres de l’interprofession Fibois et de représentants d’associations d’entrepreneurs. L’établissement, qui accueille 180 jeunes de 14 à 29 ans en formation, dont huit jeunes filles, du CAP à Bac + 2, se centre sur les métiers de la filière bois : forêt, scierie et menuiserie. Il est le seul de la région à proposer un enseignement sur l’ensemble de la filière.


Un partenariat fort avec les entreprises

La moitié des élèves sont en apprentissage mais le reste des effectifs bénéficie aussi de stages en entreprise. « Un bon moyen de construire un projet professionnel. Sur un an, plus de 400 entreprises accompagnent ainsi nos jeunes », commente Hervé Joseph, directeur de la MFR. Des entreprises qui se joignent aux enseignants pour pousser les élèves à aller « au-delà de l’exigence... », comme le montrent les nombreux éléments de mobilier ou de construction visibles sur le site. Par ailleurs, qu’ils viennent du département, de l’Ain, de la Loire ou de la Bourgogne, la quasi-totalité vit en internat à la MFR. Une expérience collective qui pousse chacun à l’engagement, lui fait gagner en confiance et en maturité : 80% des jeunes trouvent un travail après leur brevet professionnel, les 20% restant poursuivant leurs études.

N.G.

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mar.

06

oct.

2015

Lamure : coup de feu pour les pompiers

Manipuler la lance d’incendie, descendre un étage, le long du mur, harnaché à une corde et casque sur la tête, comme dans une vraie opération de sauvetage, découvrir les véhicules et leur équipement, mais surtout – comble du bonheur – faire un tour en camion, toute sirène hurlante…. Pour les jeunes Evan, Alicia ou Dimitri, la visite à la caserne de pompiers de Lamure-sur-Azergues, ce samedi 5 juin, avait tout du rêve éveillé. Pour les parents, cette journée Porte ouverte organisée par le centre d’incendie et de secours était aussi l’occasion de faire le tour de ses nouveaux locaux, inaugurés il y a trois ans : les vestiaires, la salle de musculation, la réserve de matériel, le standard et son logiciel de transmission des ordres de départ pour les interventions, la salle de formation, l’espace de détente…


Un vrai lien au niveau local

Plus de 300 curieux ont ainsi répondu à cette invitation. « Cette journée est essentiellement tournée vers les enfants, mais elle répond aussi à une demande des habitants qui ont envie de connaître ces nouveaux locaux », explique Sarah, pompier volontaire depuis 11 ans, toute affairée à distribuer crayons et papier aux enfants pour le concours de dessin. Le centre regroupe 34 pompiers dont six femmes, tous volontaires, qui offrent une bonne partie de leur temps à la communauté, en plus de leurs occupations professionnelles. Particulièrement cet été… « En temps normal, le camion-citerne sort deux à trois fois par an. Ces derniers mois, il était mobilisé en permanence, pour Grandris, pour Ternand… Nous sommes mêmes allés jusqu’à Lyon », détaille Philippe, l’un des membres de l’équipe. Des pompiers extrêmement sollicités, donc, mais qui auront fait preuve, ce samedi, d’une gentillesse et d’un sens de l’accueil particulièrement remarquable.
N.G.

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mar.

06

oct.

2015

Forum : les associations s'associent

Essai confirmé

pourle premier forum

des associations grandrisien. Amateurs, curieux et passionnés

se sont retrouvés nombreux autour

des stands.


Certaines sont très anciennes, comme l’harmonie l’Echo de la montagne, fondée en 1861, ou Douceur de vivre, dédiée au bien-être des résidents de l’hôpital gériatrique, créée il y a près de vingt ans. D’autres sont plus récente, comme Les p’tits potiers, tout juste sorti de la glaise, il y a quelques semaines…

Mais les 22 associations présentes lors du premier forum organisé à leur intention, par la mairie de Grandris, samedi 5 septembre, ont toutes montré un égal dynamisme pour valoriser leurs activités auprès du public. Accueillant les visiteurs sur leur stand, parfois très appétissants comme celui de l’association malgache Aloalo proposant  samoussas et ti-punchs,   >

elles se sont également relayée, tout au long de la journée, pour une courte présentation au micro, un morceau de musique, une chanson, une scène de théâtre ou une véritable démonstration, de danse classique, de country, de basket…

Un riche moment de rencontres et d’échanges, parfois de découverte – « Tiens, il existe une AMAP à Grandris ? », qui aura également permis aux associations de nouer des liens entre elles. L’Echo de la montagne s’est ainsi rapproché de l’école, de musique de Lamure pour professionnaliser son enseignement auprès des débutants. Quant à Aloalo, elle a sans doute trouvé un partenaire pour ses cours de cuisine…         N.G.


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mar.

06

oct.

2015

Le Grandrisien ouvre ses portes

Fermé depuis six ans, le restaurant-bar de Grandris a rouvert ses portes – et sa terrasse –, samedi 4 juillet 2015, rue Centrale ; troquant au passage son ancien nom « Les quatre saveurs », contre un nouveau, plus local : « Le Grandrisien ». Ravis de voir revenir un peu d’animation, rue Centrale, au cœur du village, les habitants ont été très nombreux à répondre l’invitation de Jean-François Moussa et de Marie-Claude Bourguignon,  ses nouveaux patrons, à se joindre à eux pour fêter son inauguration. 

Propriétaires des murs, via l’Epora (Établissement public foncier de l'Ouest Rhône-Alpes), la mairie soutient le projet, notamment par une participation de quelque 35 000€ aux travaux. Quant aux menu proposés, les restaurateurs invitent chacun à venir les découvrir au quotidien.

Où ? Rue Centrale.

Mais encore ? https://www.facebook.com/grandrisien

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mar.

06

oct.

2015

Tisser des liens en chansons

D’abord, ce sont Albert, Bénédicte, Germaine, Eliane ou Henri, une trentaine de résidents des Ehpad de Létra et de Grandris, qui se sont mis au travail, dès 2014, pour taquiner la muse et la rime, sur les thèmes de la main et du tissage.


Sans oublier Gabrielle, 95 ans, brodant, seule dans sa chambre, un joli texte sur le fil de sa vie. Puis Aglaé, Evan, Carla ou Léo – les 14 élèves de CP de l’école publique de Grandris – les ont rejoints, en renfort, en avril dernier. Ensemble, en une demi-douzaine de séances, ils ont créé neuf chansons et deux textes, aidés par Hélène Grange et Jean-Baptiste Veulaz, deux chanteurs du collectif d’auteurs-compositeurs-interprètes Les Zondits, et le personnel de l’hôpital gériatrique.


Des fils d'amitié

Une initiative soutenue par le Centre Culturel Associatif Beaujolais (CCAB), dans le cadre du programme national « Culture et santé », qui, grâce aux liens créés entre tous les participants, aura même permis aux résidents de Létra de déménager plus en douceur à Grandris, l’année dernière, lors de la fermeture de leur ehpad. Jeudi 2 juillet à 14h30, à la salle des festivités de l’hôpital de Grandris, ainés et cadets se sont à nouveau réunis face à un public attentif et ému, pour chanter ensemble leurs créations. Si 80 ans, ou plus, les séparent souvent, rien ne les a empêchés de s’entendre… De se parler, de créer, de chanter et de tisser finalement de beaux fils d’amitié. Un CD de leur tour de chant sera disponible en septembre.

N.G.

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mar.

09

sept.

2014

les 20 ans des boulistes

Il y a 20 ans, une quadrette du secteur devenait sous-championne de France vétérans. Elle se composait des grandrisiens Pierre Bérard et Robert Dulac, de Robert Ducreux (Lamure), de Bijou Raffin (Allières) et de Michel Di Rocco (Saint Laurent). Ces deux derniers sont décédés.

 

Pour commémorer cet anniversaire, un concours amical et gratuit est organisé au boulodrome de Grandris, le vendredi 19 septembre. Le souvenir de Bijou et de Michel sera très présent à cette occasion et deux coupes définitives porteront leurs noms. Pierre et Robert mettront également une coupe en jeu. Robert Dulac y ajoutera la coupe de ses 80 ans. Il offrira aussi le casse-croûte et le Beaujolais qui va avec... Quant à l'apéro, ce sera l'affaire des deux doyens Pierre Bérard et Robert Ducreux. Bref, ce devrait être un après midi très convivial. Le concours se jouera sur deux parties en 15 points: en doublettes si le nombre d'inscrits dépasse 20, en triplettes s'il dépasse 40.
Robert Dulac.

jeu.

16

août

2012

Deux roues, une seule passion

Christophe Morot

Il lui fallait au moins ça, à Christophe Morot, ces 1200 m² d’entrepôts installés dans les anciens établissements Debize de Grandris... Mais l’homme a de grands besoins. Pensez : 500 000 pièces de motos à stocker ! Du boîtier de filtre à air pour une Honda 750 VFS des années 80 à l’axe de roue avant pour une Yamaha 125 RDX de 1976, les motards peuvent trouver, chez Speck Moto Pièces, le carburateur de leur rêve ou la bulle qui leur faisait cruellement défaut. Qu’ils roulent en «  japonaises » (Honda, Kawazaki, Suzuki, Yamaha) ou en « européennes » (de BMW à Moto Guzzi). Ainsi, ce client désespéré à la recherche d’un rétroviseur neuf pour sa Kawazaki des années 85 : la pièce sera expédiée chez lui… au Japon.  Avec 6000 annonces en ligne sur le site eBay et près de 400 sur Le bon coin, en plus du site speckmotopieces.com lancé fin 2011, la quasi-totalité des ventes s’effectue par correspondance. « J’expédie 150 colis par mois en France et à l’étranger, la vente de pièces détachées sur le net représente près de 90 % de mon activité », explique Christophe Morot qui pratique également la vente de motos d’occasions et la réparation, « surtout pour une clientèle de proximité. »

 

Une référence

Créé en 1984 à Lyon, Speck Moto Pièces fait figure de référence dans son domaine. Les éléments les plus anciens du stock remontent aux années 70. Chaque pièce détachée, neuve ou d’occasion, une fois lavée et contrôlée, est soigneusement emballée et référencée. Un savoir-faire pas tout à fait éloigné du premier métier de Christophe Morot, cadre dans un grand groupe de distribution français pendant 20 ans. « Jusqu’à ce jour de 2005 où j’ai appris que l’affaire était à reprendre », explique ce passionné de moto qui circule à deux roues depuis une vingtaine d’années. La recherche d’un local de stockage a conduit Christophe Morot et sa compagne, Kristell, à Grandris, « par hasard, au printemps 2011. » Ces « néo-grandrisiens », qui affirment avoir gagné en qualité de vie, ne regrettent rien... 

 

dim.

12

août

2012

Ca marche !

HVA culture organise une rando nocturne le 14 août 2012. Au programme : deux circuits de 5 et 10 km et... une soupe à l'oignon à l'arrivée. Lampes obligatoires.

 

Où s'inscrire ? A l'Odyssée à partir de 21 heures.

Tarifs : 7 euros pour les adultes, 3,5 euros pour les enfants. Tél. : 04 74 03 11 35.

sam.

21

juil.

2012

Des graffeurs à Grandris !

Photo : E.Boissot
Photo : E.Boissot

 

Une immense fresque à été réalisée, à Grandris, le temps des Callifolies (21 et 22 juillet 2012), par le collectif Medlakolor... Elle est visible à la mairie. Et, croyez nous, ça vaut le détour !!!

 

Le site de Medlakolor : www.medlakolor.com

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mar.

10

juil.

2012

Pratiques artistiques

L’AGRAF

Théâtre amateur

Responsable : Frédéric Corgier

Courriel : agraf@numericable.com

Reprise des activités en septembre

 

Danse en Haute Azergues

 Cours de danse de 4 ans à… bien plus tard

Responsable : Laurence Paquis

Tél. : 09 53 16 07 56

Courriel : g.paquis@wanadoo.fr

Les cours reprennent le 19 septembre

 

Echo de la Montagne

Harmonie musicale

 

GADHA (Groupement des Artistes de la Haute Azergues)

Peinture, artisanat

 

Grandris'Country 

Cours de danse Country




mar.

10

juil.

2012

Liens utiles

Mairie
Web : www.grandris.org


Communauté de Communes de la Haute Vallée D'Azergues

Web : http://www.haute-azergues.org/ email : 

 

Maison du Département du Rhône

Web  : http://www.rhone.fr/


Office de Tourisme de la Haute Vallée D'Azergues

Web : http://www.hautevalleeazergues.fr/ 



 

mar.

10

juil.

2012

Mairie et services publics

Mairie
Place de la Mairie. Tél. : 04 74 03 07 80

Courriel : info@grandris.mairies69.net

Web : www.grandris.org

 

Ouverture au public : du lundi au samedi de 8h30 à 12h00,
Un parking 2 roues est mis à disposition.


Communauté de Communes de la Haute Vallée D'Azergues

Maison des Syndicats

2 rue Centrale - 69870 Lamure sur Azergues

Tél. : 04.74.03.14.33

Courriel : h.communautedecommunes@numericable.com

 Web : http://www.haute-azergues.org/ email : 

 

Maison du Département du Rhône

 Le Bourg - RD 485 - Lamure-sur-Azergues

Tél. : 04 74 03 05 24

Web  : http://www.rhone.fr/


Office de Tourisme de la Haute Vallée D'Azergues

Rue du Vieux Pont - Lamure sur Azergues

Tél. : 04.74.03.13.26

Courriel : officedutourisme@numericable.com

Web : http://www.hautevalleeazergues.fr/ 


Trésorerie - Perception

Rue Centrale - 69870 Lamure sur Azergues

Tél. : 04 74 03 01 75

mar.

10

juil.

2012

Le site officiel de Grandris

http://www.grandris.org/

 

Tél. : 04 74 03 07 80

mar.

10

juil.

2012

A lire bientôt : le tri pour les nuls

Le papier kraft, je le mets où ? Et mon ampoule usagée ? Le pot de faisselle va-t-il à la poubelle ? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le tri se trouvera bientôt ici. A suivre...

mar.

10

juil.

2012

Aux petits soins pour sa pharmacie

Raphaël Pinardon

Quitte à s’installer à son compte, autant choisir un cadre agréable ! Après dix ans d’exercice à la pharmacie du centre commercial de Lyon Part Dieu, sans jamais voir la lumière du jour, Raphaël Pinardon ne pouvait qu’être séduit par le charme de Grandris : « L’officine de Martine Risse était en vente. Je suis venu la visiter un samedi d’octobre 2010. Il faisait beau. J’ai adoré les paysages et apprécié le fait que les gens me disent bonjour dans la rue », se souvient-il. « Et puis bien sûr, le commerce paraissait viable… »
Viable, mais à développer : inaugurée le 1er mai 2011, la pharmacie est désormais ouverte plus de quarante heures par semaine. Son stock de médicament s’est étoffé et, de l’hygiène corporelle à l’orthopédie, en passant par les crèmes hydratantes, le maquillage et les produits pour bébés, sa gamme de parapharmacie s’est considérablement élargie. « Je cherche aussi à améliorer l’offre en herboristerie et aromathérapie », précise Raphaël Pinardon qui, après un an de fonctionnement, juge l’expérience plutôt positive : « Faire vivre une pharmacie dans un village, c’est un challenge au quotidien. Mais je suis toujours là, non ? »

mar.

10

juil.

2012

Trouvailles et coups de cœur

Juliette Thierry-Goscianski


A la voir dans sa jolie boutique, méli-mélo de foulards, de bijoux, de sacs, d’objets déco, de jouets et d’accessoires pour les enfants – tous parfaitement choisis –, on a du mal à l’imaginer responsable qualité au sein des laboratoires pharmaceutiques Grimberg ! C’est pourtant ainsi que Juliette Thierry-Goscianski, diplôme de chimiste en poche, commence sa carrière professionnelle, en région parisienne… Mais la qualité de vie importe plus à la jeune femme que celle des gélules, ampoules, pilules et autres solutions de pulvérisation… En 2001, direction les Alpes de Haute-Provence : enfin libre de se consacrer à ses véritables passions, elle y étudie l’histoire de l’art et la poterie, tout en ouvrant des chambres d’hôte.
Cinq ans plus tard, à la recherche d’une habitation dans les environs de Lyon, elle découvre Grandris. « Je ne connaissais absolument pas l’endroit. Mais il n’était plus question d’habiter en ville », raconte cette grande amatrice de randonnée et de verdure. «  Et nous y avons eu un coup de cœur pour une maison… »  La « Maison de Juliette », version commerce cette fois, ouvrira en 2007. Sa propriétaire n’y vend que « ce qu’elle aime » : des objets de créateurs, des produits du commerce équitable, des livres – de plus en plus -, des trouvailles « que l’on ne verra pas partout »…  Sa clientèle, qui s’étend même jusqu’à Lyon, apprécie. Forcément.


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mar.

10

juil.

2012

Au four et au mannequin

Catherine et Franck Vallet

Photo : Jean-Yves Cospain
Photo : Jean-Yves Cospain

Si Catherine et Franck Vallet ont vécu pendant neuf ans dans les Monts du Lyonnais, à Haute-Rivoire, c’est bien à Grandris que Franck a d’abord appris les ficelles du métier de boulanger. De 1990 à 1995, il y travaille en effet comme ouvrier, auprès de Michel Cartellier, après deux ans d’apprentissage à Amplepuis (en pâtisserie), son service militaire et un passage au Bois d’Oingt, notamment. Catherine, elle, manie le fil et l’aiguille pour le compte des établissements Debize, fabricant de vêtements de chasse et de travail, également installé dans le village.
Le départ en retraite de Michel Cartellier, en 2004, représentera pour le couple, originaire de Chambost et de Saint-Bonnet-le-Troncy, l’opportunité de se rapprocher de sa famille. En septembre, les revoilà donc rue centrale, maîtres des lieux cette fois. A la carte de Franck Vallet, on trouve des baguettes, du pain de campagne, des flûtes, des pains au maïs ou aux noix… Mais aussi d’excellentes pâtisseries : brioches azergoises et tartes tropéziennes, entre autres. Quant aux spécialités de Catherine, si elles figurent également en vitrine, elles s’apprécient uniquement avec les yeux : petits hauts, robes, pantalons… Rien que du sur-mesure.

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mar.

03

juil.

2012

La clef des contacts…

mar.

03

juil.

2012

Le plein d’idées fraîches

Virginie et Mickael Thorel

 

Avant de se fixer à Grandris, Virginie et Mickael Thorel ont traversé toute la France - ou presque - du Nord au Sud. « En tant qu’intérimaires, de 2003 à 2005, nous avons géré 22 petits Casino un peu partout », explique le jeune couple, originaire du Pas-de-Calais. Ville, campagne… De Besançon à Lamure-sur-Azergues, en passant par Sens et la Nièvre, ils expérimentent tous les types d’environnement. De quoi affiner un peu mieux leurs préférences. 

Et lorsqu’ils apprennent la mise en vente du Vival de Grandris, ils n’hésitent pas longtemps : « La région et le village nous plaisaient. Le métier aussi. Nous voulions nous mettre à notre compte. Nous avons saisi l’occasion ! » Le 16 mars 2006, les voici installés. Mais pas question de souffler pour autant. Leur commerce est un peu petit ? Le tabac de la Place de l’église est en vente ? Ils sont sur les rangs. En septembre 2011, après travaux, Vival se déplace à côté de la pharmacie. Une situation plus centrale qui invite à la créativité : développement d’un rayon poissonnerie, vente de glaces… Les idées ne manquent pas. 

 

mar.

03

juil.

2012

Cher lieu voisin

Charlieu > A 41 km de Grandris

 

Ensemble monastique exceptionnel dans la région, l’abbaye bénédictine de Charlieu (Loire) a rayonné jusque dans les montagnes du Beaujolais pendant plusieurs siècles.

 

  

Pendant près de mille ans, elle a donné à la cité qui porte son nom un rayonnement et une opulence, encore visibles aujourd’hui à travers les maisons à colombage du centre-ville. Edifiée par des Bénédictins à partir de 870-875, dans ce Carus locus (cher lieu, en latin, qui donnera Charlieu), l’abbaye sera fermée en 1788, à la veille de la Révolution. Combien étaient-ils, ces moines Bénédictins, fuyant vraisemblablement les invasions normandes depuis la Touraine, qui s’installèrent sur ces terres données par l’évêque de Valence ? Certainement peu nombreux. Entre le 11e et le 12e siècle, le monastère ne connait cependant pas moins de trois églises successives.La dernière sera détruite au début du 19e siècle. Mais il en reste le narthex (ou avant-nef) et un magnifique portail sculpté dans la pierre ocre-jaune du pays, de même que les fondations des différentes églises. L’hôtel du prieur a également été conservé - on attend toujours la fin de sa restauration – ainsi que le cloître du 15e siècle et la salle du chapitre où se réunissait la communauté. Ce vaste ensemble se laisse admirer depuis une petite place ombragée bordée par les deux tours donjons du 12e siècle.

 

 

 

 

Où ? A Charlieu (Loire).

Quand ? En juillet et août : de 10h à 12h et de 13h à 19h. Avril, mai, juin, septembre, octobre : de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30. Fermée le lundi. Février, mars, novembre, décembre : de 10h à 12h30 et de 14h à 17h30. Fermée le lundi et les 24, 25 et 31 décembre.

Où se renseigner ? Tél. : 04 77 60 09 97. Web : www.loire.fr et http://otpaysdecharlieu.pagesperso-orange.fr/crbst_3.html

Mais encore ? A voir également à Charlieu : le centre ville et l’église paroissiale Saint-Philibert, le Musée hospitalier dans l’ancien hôtel-Dieu, le couvent des Cordeliers.